Cet article traite de l’articulation entre anthropologie et colonialité. Partant de la distinction entre anthropologies hégémoniques et subalternisées, notre propos est d’identifier certains des mécanismes qui introduisent et consolident certaines hiérarchies entre les différentes institutionnalisations et localisations anthropologiques. Ces mécanismes reproduisent et naturalisent un sens commun disciplinaire qui est profondément et structurellement colonial.
Source : https://cal.revues.org/1550