Les violences faites aux femmes et aux filles d’outre-mer ne sont pas seulement conjugales. Elles s’inscrivent aussi dans le cadre du travail: insultes, intimidations, menaces, refus de voir une femme décider, etc.
Ne laissons pas cette violence se banaliser! Réagissons pour que nos femmes et nos jeunes filles aient envie d’occuper des postes à responsabilité.
Le 5 avril, tous au Musée de l’Homme à Paris pour les premières assises des violences faites aux femmes et jeunes filles d’outre-mer.
Merci à Chantal Clem de cette initiative!