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Depuis plusieurs mois, la dénonciation du crime d’empoisonnement commis par l’Etat colonial, la caste békés et autres complices locaux prenait une ampleur inattendue. Le gouvernement français avait cru pouvoir écraser la contestation en systématisant la répression policière et judiciaire. Des actes de violence avérés et une cascade de procès se sont abattus sur les militants anti-chlordécone qui avaient manifesté devant les centre commerciaux.