De source généralement bien informée (source non polluée au chlordécone), on apprend que sûrs et certains d'être blanchis (au sens juridique du terme, pas à celui de Peaux noires, masques blancs puisqu'ils le sont déjà) par le CNESER, le trio de l'ex-CEREGMIA avait préparé une méga-fête pour célébrer sa victoire.
Parents, amis (francs-maçons, PPM etc.) et alliés (au sein de l'Université des Antilles et au plus haut niveau même) avaient concocté, avec l'appui de journalistes-lapo-pistach et de blogueurs-kabrit-zié-loli, une intense campagne campagne de dénonciation de toutes celles et tous ceux qui les avaient combattus. A commencer par C. MENCE-CASTER, R. CONFIANT et J. AGLAE.
Thème de ladite campagne : ceux qui ont dénoncé les pratiques délictueuses du CEREGMIA sont des affabulateurs, des menteurs, des jaloux, des incompétents, des indépendantistes, des négriers des temps modernes et tutti quanti. Pas très novateur, en fait, puisque ce sont les qualificatifs que Fred CELIMENE et sa bande n'ont cessé d'utiliser contre les anti-corruption dans le torrent de mails qu'ils ont déversé durant 4 ans. Près de 742 mails au dernier décompte.
Mais manque de pot, leur pot a dû être annulé !
En effet, au vu des charges accablantes pesant sur le trio, notamment le tout dernier rapport de l'OLAF, il a été purement et simplement rayé des cadres. Boudoum ! comme on dit en latin. Rangez-moi ces caisses de champagne, ces petits fours et accras et surtout ces éléments de langage ravageurs et rageurs que le trio avait préparé de vue de démolir médiatiquement les combattants anti-corruption.
Ne reste alors au trio défait et décomposé que la pathétique, la pitoyable, tentative de s'auto-blanchir dans les médias. Fort heureusement, Dieu est grand et Allah aussi, comme on dit en hébreu...(Bouddha et Papa Legba aussi, paraît-il).