Comment appeler un individu qui fricote avec la flicaille depuis des décennies tout en se prétendant "nationaliste" et qui tient régulièrement des propos "anti-Blancs" sur une télé-poubelle ou sur sa page Facebook sans qu'il soit jamais inquiété par la loi ni traduit devant les tribunaux pour incitation à la haine raciale ? Un indic ! Et pour ceux qui serait peu familier de cette abréviation : un indicateur de police.
Sinon comment expliquer qu'il ait pu envoyer deux inspecteurs de police au domicile d'un intellectuel bien connu de la place lesquels policiers ont remis à ce dernier une convocation, lui précisant que s'il refusait de se rendre au commissariat, on viendrait le chercher manu militari ? Motif de la convocation : l'intello aurait "menacé de mort" (sic) l'indic. Rien que ça ! Où ? Quand ? Comment ? Allez savoir !
Comment expliquer qu'une fois arrivé au commissariat, les flics aient pris les empreintes digitales de l'intello, ses photos de face et de profil (oui, comme dans un feuilleton américain) et même, tenez-vous bien, son empreinte ADN, chose ordinairement réservés aux fameux "fichés S" c'est-à-dire aux supposés terroristes islamistes. Et comment expliquer qu'en quittant le commissariat, l'un des flics lui ait lancé, sur un ton menaçant :
"S'il arrive quoi que ce soit à X..., c'est vous qu'on viendra chercher en premier !"
X, autrement dit l'Indicateur de police, le faux nationaliste, le Rat d'égout du Bord de Canal, l'historien qui n'a jamais écrit un seul livre d'histoire même pour enfants : la haine baveuse personnifiée. Car il a beau éructer, il n'est jamais parvenu à se faire connaître internationalement qu'entre la Table du Diable et les falaises de Grand-Rivière et du coup, il vous une haine féroce à tous ceux et toutes celles qui, volant intellectuellement sept étages au-dessus de lui, y sont parvenus. Il paraît même que la franc-maçonnerie l'aurait exclu de ses rangs l'an dernier. Or, il faut vraiment être la pire des crapules pour que cette institution occulte se résolve à se débarrasser de vous. D'habitude, elle couvre les magouilles ou malversations des chers "Frères-trois-points".
Bientôt septuagénaire, la raison n'a toujours pas pu franchir les murs de béton qui entourent sa modeste cervelle. Alors il continue à insulter, diffamer, calomnier, traîner autrui dans la boue comme il l'a toujours fait. Si bien qu'il est possible qu'un jour, on lise sur sa pierre tombale :
"Ci-git un pseudo-nationaliste, indic de son état, qui n'a cessé de cracher sa bave sur tous ceux et toutes celles qui se battent contre la médiocrité intellectuelle et la corruption"...