
Kaboul est donc tombée aux mains des Talibans et la presse mondiale n'a de cesse de faire ses choux gras de ces barbus enturbannés et porteurs de kalachnikovs qui désormais dirigent le pays suite à la fuite, la queue entre les jambes, des Yankees.
On nous montre des Jeeps bondées de types lourdement armés qui patrouillent dans les rues, des foules désespérées qui assiègent l'aéroport de Kaboul dans l'espoir de fuir le pays, le palais présidentiel investi par les Talibans, des opposants qui ont peur pour leur vie etc... On nous dit tout : les noms des principaux mollahs, l'endroit où font escale les avions occidentaux qui emportent des réfugiés afghans, les premières décisions des gouvernements européen et américain, la résistance dans la région du Penshir lancée par le fils du commandant Massoud etc...
Mais y'a un truc que ces enfoirés de journaleux ne voient pas et ne disent pas. Pourtant ça se voit comme le nez au mitan du visage ! Qu'est-ce donc ? Ceci : il n'y a pas de dictature sanitaire en Afghanistan. Personne n'y est obligé de porter un masque (comme on le voit sur les photos et dans les reportages), personne ne se soucie ni des gestes-barrière ni de la distanciation sociale et le pass sanitaire est totalement inconnu. Tout comme le soi-disant vaccin ! Et les mollahs ne prévoient d'instaurer ni couvre-feu ni confinement.
Seuls les antivax martiniquais ont remarqué cette absolue liberté et ont aussitôt demandé l'asile politique aux nouvelles autorités de Kaboul. Ces dernières comptent donc organiser dans les meilleurs délais, a assuré le mollah Barbe-à-Papa, des vols Kaboul-Fort-de-France-Kaboul pour amener en Afghanistan toutes celles et tous ceux qui sont pourchassés par la dictature sanitaire et colonialiste exercée par la France. Le vaccin-poison, spécialement concocté par cette dernière pour génocider le peuple martiniquais, y sera dénoncé à la face du monde entier.
Bon, personne ne porte, en effet, de masques à Kaboul. Sauf...
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