Il y a pourtant des millions d'euros en jeu au détriment de l'Université des Antilles.
Chose que pas moins de 5 rapports accablants ont mis en lumière : 2 de la Cour des Comptes, 1 du Sénat, 1 de l'IGAENER (Inspection Générale de l'Education Nationale et de la Recherche) et 1 de l'OLAF (le gendarme européen, surnommé le FBI européen). Or, l'affaire a connu 3 juges d'instructions en bientôt 4 ans. Du jamais vu ! Même sous les cocotiers.
Du coup, tout un chacun est obligé de s'interroger sur ce peu d'empressement de la justice à traduire en justice les 43 personnes impliquées dans le scandale du CEREGMIA (selon le rapport de l'IGAENER) et surtout leurs trois chefs déjà virés de l'enseignement à la fois public et privé.
QUI PROTEGE QUOI ? QUI A INTERET A CE QUE L'AFFAIRE NE SOIT JAMAIS JUGEE ?
On peut légitimement se demander si on ne va pas lentement mais sûrement vers un étouffement du scandale du CEREGMIA comme ce fut le cas du CREDIT MARTINIQUAIS de triste mémoire. Continuez donc à trembler, petits voleurs de mobylette, Dame Justice s'occupe de vous ! Et quant à vous, délinquants en col blanc, continuez à vous la couler douce !
La pli bel anba labay !...