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Yan MONPLAISIR répond au désir joséphin

Yan MONPLAISIR répond au désir joséphin

   Ce vendredi 04 novembre, Yan MONPLAISIR a convié la presse à un petit-déjeuner, dans un restaurant de Gondeau Saint-Joseph.

   Le vice-président de l’Assemblée Territoriale y a déclaré être candidat à Saint-Joseph pour l’élection municipale de mars 2020. 

 Ce restaurant situé dans un quartier emblématique de Saint-Joseph est « porteur d’une symbolique forte, c’est mon ancienne maison familiale, le lieu de naissance de mes enfants lieu qui devrait marquer la renaissance de notre ville », souligne Yan MONPLAISIR. 

 C’est un candidat plus optimiste que jamais auquel les journalistes ont eu à faire face. Yan MONPLAISIR a ces mots pour expliquer son état d’esprit : « Je ne pensais pas me représenter à cette élection mais de nombreuses personnes, de toutes conditions, m’ont quasiment réquisitionné ».

 Dès lors, il affirme que porté par ce « fort désir de changement », cette volonté des joséphins de « remettre la commune à sa juste place au sein de la CACEM », « lui redonner sa fierté » ; il ne pouvait se dérober face aux responsabilités que la population entend lui confier. Cela d’autant qu’il a toujours prouvé son « attachement aux joséphins et à Saint-Joseph ».

 Quand on lui demande si les nombreuses affaires qui ont secoué l’équipe municipale y sont pour quelque chose ? 

 Le candidat se refuse à toute polémique. Il souhaite simplement « que ceux qui ont été mêlés, de près ou de loin, aux malheureuses affaires qui affectent l’image de l’édilité se regardent dans leur miroir et sachent en tirer les leçons de probité et de morale que nous impose tout mandat électif ». 

 Yan MONPLAISIR n’entend pas mêler sa voix à la confusion ambiante. « Le nombre de candidatures à cette élection aurait pu exprimer une vitalité démocratique. Il n’est, hélas ! que le reflet des clans et divisions qui minent cette magnifique commune », assure-t-il. L’homme se tient dès lors hors des clans et cancans, il se veut « rassembleur ».

Expérience et développement

 Yan MONPLAISIR entend aussi mettre son expérience de chef d’entreprise au service du développement de Saint-Joseph « dont le fort potentiel n’attend qu’une volonté politique, soutenu par un projet d’ensemble, cohérent, afin de redonner de la vitalité à la commune -du bourg aux quartiers-, de l’espoir à la jeunesse et de la sérénité aux aînés ».

 A ceux qui auraient encore la lueur d’un doute quant à l’élection de Yan MONPLAISIR à cette municipale, le candidat les invite à « revoir les résultats des dernières élections législatives » où les suffrages des joséphins se sont, effectivement, exprimés massivement en sa faveur. Ces derniers ont d’ailleurs usé de cet argument pour le pousser à se représenter à Saint-Joseph.

 Au cours de ce déjeuner de presse, les journalistes qui demandent à l’homme de l’Alliance de décembre 2015 quel choix il fera entre son mandat de maire et sa vice-présidence à la CTM, resteront sur leur faim : « Chaque chose en son heure ; two pwésé pa ka fè jou ouwè », dira-t-il. 

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