Alors qu'en Martinique et en Guadeloupe des hurluberlus s'emploient à dénigrer le mot "créole", en Louisiane d'importants moyens sont mis en oeuvre pour sauver la langue.
Comme pour l'affaire du chlordécone, celle du CEREGMIA a été délocalisée au tribunal de Paris, il y a bientôt quatre ans, et on n'en entend plus parler.
Rolland Thésauros que ses camarades nationalistes appelaient Tézo est l’un des pères fondateurs du nationalisme guadeloupéen. Par conviction anticolonialiste, il refuse de faire la guerre d’Algérie et rejoint les rangs de l’ALN avec ses camarades Daniel Boukman, Sonny Rupaire, Aude Ferly, Guy Cabort-Masson.
Dans l'article que l'on peut lire tout en bas de cette introduction, on évoque une enquête chinoise qui a concerné 2.100 personnes dans ce pays qui compte 1,2 milliards d'habitants.
Ce nom à la fois créole (Mi sé la !) et glissantien (Mycéa étant un personnage récurrent chez l'auteur de La Case du commandeur) témoigne déjà de l'orientation de cette jeune association présidée par Patricia CONFLON GROS-DESIRS.
Débora Kayembe Buba a été élue le 3 février 2021 recteur de l’Université d’Edinburg, devenant la troisième femme à ce poste en quatre siècles d’existence de l’institution. La congolaise (RDC) est la première africaine à cette prestigieuse fonction.
Pour Bernez Rouz, président du conseil culturel de Bretagne et Yann-Bêr Thomin, président de sa commission langue, la réforme « non aboutie » de Jean-Michel Blanquer « n’a pas anticipé les conséquences pour les langues régionales » notamment le breton.
Sé jou-tala épi éleksion la CTM ka vini ovantatè, asiparé sé pou mwa’d jwen 2021 mé sé le 1er avril nou ké sav. Adjilbè di mwen pétet sé an pwason davril oben an fig gouvelman lé fè nou valé.
Il y a plusieurs façons de marquer sa solidarité face à l'humaine souffrance dont aucun peuple sur la terre n'a le monopole même si, au cours de l'Histoire, certains, tels les Noirs, ont payé un plus lourd tribut que d'autres.
Lancée en 2005 au sein de l’OMDAC cette rencontre annuelle publique est destinée à valoriser les créations et les produits de communication qui s’appuient sur les techniques numériques : infographie, image 3d, peinture numérique, mapping, audionumérique, podcast et vlog, DJing, Vjing, interactivité.
Depuis quelques années, une bande d'hurluberlus, s'autoproclamant chercheurs, égyptologues, africanistes etc., s'emploie à dénigrer le mot "créole" ainsi que la langue et la culture créoles.
Ancienne figure du syndicat CSTM et du MIM, Marc Pulvar, décédé il y a près de deux décennies, se voit mis en cause aujourd'hui par trois de ses nièces.
Elles lui reprochent, comme on le verra dans le texte ci-après, de les avoir agressées sexuellement lorsqu'elles étaient enfant...
Une personne issue du BUMIDOM et revenu en Martinique vient d’exprimer ses sentiments à la suite de la rediffusion à la télévision ce jour d’un film qui lui est insupportable. Je dis merci à Montraykréyol de me permettre d’écrire ceci, qui ne peut pas être écrit ou dit dans la presse écrite et audiovisuelle : cessez, Messieurs-dames les journalistes de Martinique la première, de diffuser avec une régularité de métronome des films militants et misérabilistes sur le BUMIDOM. Ils ne sont pas de vous et n’ont pour objet, dans le but d’accuser le gouvernement d’alors, que de jeter l’opprobre sur les personnes parties au titre du BUMIDOM. Il n’a jamais - ô grand jamais - été organisé de débat entre des personnes d’avis différents ayant vécu cette histoire. Vous ne connaissez pas l’avis de ceux qui, très majoritairement, ont connu par ce biais une incontestable ascension sociale et dont aucun film ou ouvrage ne parle.
C'est en regardant sur ANTILLA, le dernier N° 1956 du 28 janvier 2021, des photos de Nicol BERNARD des propos de Mike IRASQUE, que j'ai eu l'idée de faire un petit retour en arrière pour (leur) rappeler ce qui suit.
« Cette victoire historique aux Pays-Bas nous apporte beaucoup d'espoir : elle montre qu'il est possible d'obtenir justice face à des multinationales qui se croient toutes puissantes et sont habituées à agir en toute impunité », commente Juliette Renaud, responsable de campagne sur la Régulation des multinationales aux Amis de la Terre France.