Adan an komin li-nò Matinik éti nou pé ké di non'y, nan fondok an lakanpay, an gran-madanm éti nou pé ké di non'y non pli, men anni soud-non'y, Man Soso, té ka tann tou léswè an voukoum anlè fey tol fétay kay-li a. Yan kalté model voukoum, mésié-zé-danm ! Kifè i pa té ka rivé pwan sonmey abo i té ka ralé chaplé'y pou prédié ek mandé Bondié, Laviej épi Jézikri vini pòté'y soukou. Konmwa i té ka viv li yonn, i té pè sòti déwò nan bonmitan lannuit-la pou wè ki sa ki té ka woulé la-a. Sa fè, Man Soso koumansé ka viv an lavi toutafetman enposib ek gason'y ki té ka rété nan bouk (i té ka djoubaké lanméri), Jéra ki té tit-li, désidé vini pasé an lannuit lakay vié lamatè'y pou konpwann ki djendjen ki té ka fet la-a.
La ligue de Football de la Martinique (LFM) et la CTM ont mis à l'honneur les clubs qui se sont illustrés en Coupe durant la saison 2015-2016. Alfred MARIE-JEANNE, qui fut président du Racing-Club de Rivière Pilote durant 27 ans et Louis BOUTRIN, ancien athlète de haut niveau, ont remis aux clubs des récompenses sous forme d'une aide financière directe. Le Président de la CTM et le Conseiller Exécutif en charge des Sports ont profité pour annoncer la tenue prochaine des ASSISES DU SPORT MARTINIQUAIS dont une des thématiques se penchera spécifiquement sur l'avenir du football martiniquais : "QUEL AVENIR POUR LE FOOTBALL MARTINIQUAIS ?". Au cours de cette sympathique cérémonie, la LFM a également procédé au tirage au sort du meilleur bénévole de l'année. À l'invitation de la FFF, le Lauréat de l'année, Alain JUSTE, vice-président du RC Lorrain (PHOTO), participera à la prochaine Coupe d'Europe de Football.
Éclats de la mémoire d’un Martiniquais exilé à Paris dans les années soixante, au soir de sa vie, marquée par l’amour pour Eleonora, la prostituée bretonne, et éclats d’une conscience à jamais séparée de son origine, de sa terre et de sa lumière, La Vie et la Mort de Marcel Gonstran est une réinvention de l’écriture mémorielle.
En novembre 2015, ce quinquagénaire, qui enseigne l'histoire-géographie dans une école juive de Marseille, avait affirmé avoir été agressé par trois hommes à scooter.
Charlotte Silver http://www.agencemediapalestine.fr/
Lundi, 16 Mai, 2016 - 22:14
Dima al Wawi, 12 ans, la plus jeune détenue palestinienne, est accueillie par sa famille au check-point de Jbara en Cisjordanie occupée, après sa libération le 24 avril. (Keren Manor ActiveStills). Israël s’est enfoncé un peu plus dans l’ignoble cette année : il a arrêté et emprisonné sa plus jeune détenue, Dima al-Wawi, âgée de 12 ans, la condamnant à près de cinq mois de prison.
le Pr Dolisane Cecile, de l'Université de Yaoundé (Cameroun), interroge ci-après J. Fame Ndongo à propos de son livre intitulé "Essai sur la sémiotique d'une civilisation. Le génie africain est de retour" publié aux Editions L'Harmattan...
J'ai eu l'occasion de rencontrer dernièrement le Professeur Raymond RIVET, le même que le Responsable du Protocole anglais prit par erreur pour Jules KOENIG en septembre 1965 lors de l'ouverture de la Conférence de Londres.
Sa titak red pou admet, men anlo chofè loto Matinik, sé moun lakolbok dwet té sézi permi-yo anfwamenm ek entèdi yo kontinié mété lavi moun an danjé anlè lawout. Sa vré ki chofè moto ka fè plis kouyon ankò ek sé pou sa, asou an lanné, ni plis moun ka mò abò moto ki abò loto, mé chofè loto, soutou sa ki pa pè pwan volan lè zot wè yo boulé kon dé sad oben yo ni bon zeb an tet-yo, danjéré bon danjéré tou.
Sa ki fini pasé atè Brézil kivédi vréyé-alé met-a-manyok péyi-a, Dilma ROUSSEF, pa vo dot non ki vakabonnajri. Tout moun rimatjé ki nouvo gouvelman-an ni ayen ki Blan ek nonm adan'y. Koté fanm pasé ? koté Zendien, Neg ek Milat pasé ? Koté moun ki sòti adan krey-sosial madjendjen pasé ? An plis, "Wikileaks" dévwalé ki met-a-manyok intérimè a, Michel TEMER, ka travay ba la C.I.A dépi bon enpé tan, kivédi misié sé an lonviyè ka woulé ba sé Méritjen-an.
Les femmes ne manquent vraiment pas d'imagination et d'astuces pour séduire leur partenaire. Outre la lingerie extra sexy, leurs nouvelles trouvailles : le port des perles africaines communément appelées en malinké ''Baya''. Cependant, si cette parure revêt un caractère aphrodisiaque, le côté curatif et protecteur n'est pas exclu. Voyage dans un monde érotique où le beau est le seul maître de la conquête du cœur. Le ''Baya'' est un ensemble ou un collier de perles utilisées par les africaines à titre d'ornement de leur hanche. ''Afflema'' en Akan ou ''Baya'' en malinké, cette parure a plusieurs objectifs : la séduction, la protection et la santé.
C'est l'ONF qui a eu maintes fois l'occasion de frapper cette famille d'illégalité et de contravention à Monnerot. Au départ, c'est Rosalie GACHETTE qui suivait cette affaire et qui a sollicité l'ASSAUPAMAR. Plus de 40 personnes se sont présentées pour encadrer cette famille.
Si l'affaire n'était pas si grave, il eut fallu en sourire, voire en rire aux éclats. Il s'agit, bien sûr, du déferlement de révélations faites par des femmes politiques et des femmes journalistes à propos de paroles ou de comportement sexistes de nombre d'hommes politiques français. A entendre celles-ci, l'homo politicus gaulois serait non seulement un expert en...gauloiseries, mais souvent un harceleur en puissance (genre Tron ou Baupin), voire un prédateur (genre DSK). Et ça, ajoutent-elles d'un seul élan, tout le monde le sait depuis des lustres (sans doute depuis Vercingétorix), sauf qu'une chape de plomb (on aurait pu dire une omertà, mais faut pas que les Corses emmerdent le peuple non plus avec leur obsession de co-officialité de leur patois avec la langue de Molière) pèse sur le monde politico-médiatique hexagonal.
Port-Au-Prince – L’ex ministre de la planification et de la coopération externe, Yves Germain Joseph, a révélé des transactions illicites dans les contrats entre l’état haïtien et des firmes de construction. M. Joseph, qui fut ministre entre janvier 2015 et avril 2016 sous le gouvernement d’Evans Paul, a révélé aux membres de la commission éthique et anti corruption du Sénat haïtien, l’existence de deux contrats pour un même projet.
Bombino, alias Omara Moctar, est ce petit génie du blues et de la guitare, né au Niger, issu du peuple nomade targui, qui a subjugué par son talent des fans hors frontières et toutes générations et nationalités confondues. Découvert par hasard à l’occasion du tournage d’un documentaire sur la ville d’Agadez où sa famille nomade avait élu domicile pour un moment, son talent fut une révélation, et à partir de là, sa notoriété s’est développée et il a conquis le cœur des fans partout où il se produisait. Et la demande n’en est que grandissante de jour en jour, puisque de retour d’une tournée d’un mois et demi aux États-Unis, le voilà à Alger pour repartir juste après en Asie. En marge de la soirée d’ouverture du Festival culturel européen, Bombino nous a accordé cet entretien.
Adan mwa mé-tala, toupatou, moun ka gloriyé sa yo ka kriyé labolision lestravay ki fet lè 22 mé 1848. Asosiyasion kiltirel, parti politik, lanméri, légliz kisasayésa...ka fè an patjé manifestasion pou fè nou chonjé sa yo té fè zanset-nou pannan pres 3 siek. Sé an bon bagay ki la ek sa ka montré ki, okontrè di sa dé serten moun ka prétann, pep-nou an pa viré do ba sa ki pasé an tan lontan. Yo pa bliyé lestravay ek yo pa lé bliyé'y an pies kalté manniè. Yo lé timanmay-yo apwann ek konpwann salopté-a yo fè Neg ki Blan chayé dépi l'Afrik pou fè yo travay ba yo pou ayen asou bitasion kann atè lé Zantiy. Men an ti keksion pies moun pa ka janmen pozé : es zanset-nou té lé vini sa nou yé jòdi-jou ?
Moun konpwann sé anni yo ka pwan fè asou latè, sé anni yo ka trapé koraj épi koch-pat nan lavi-yo, sé anni yo tout kalté model tjak ka vini terbolizé. Sa pa vré pies ! Dowlis, Zonbi, Ti-Mons, Antikri, Tet-san-Kò, Ladjables kisasayésa..., ka pwan fè tou délè abo yo ni bidim pouvwè ka pèmet yo volé nan siel, mofwazé adan an bat-zié, vini envizib flip-flap, bagay kon sa.
Ce jeudi 12 mai, la Bibliothèque de la ville de Schoelcher et son directeur, Judes DURANTY, ont organisé une conférence autour du dernier livre de Mérine CECO, "Au revoir, Man Tine" publié aux éditions ECRITURE (Paris). C'est Cécile BERTIN-ELISABETH, professeur des universités en langues et cultures hispaniques, qui a joué brillamment le rôle de première lectrice devant un public nombreux et intéressé. On trouvera ci-après le texte de son intervention...
Sa ka fè pasé swasant lanné, sé gwo-mòdan l'Ewop ek lé Zéta-Zini té désidé fouté an pep antiè déwò di lakay-li. Pep-tala, non'y sé Palestinien. An laplas-li, yo fè vini siwawa moun tout koté asou latè, ki la Risi, ki la Fwans, ki l'Arjantin, ki l'Itali, ki l'Anglitè jik l'Etiopi. Kidonk moun-vini, moun-andéwò ki pwan plas sé natif-natal la kivédi sé Palestinien-an. Ki vòlè tè sé Palestinien-an. Epi yo mété doubout an léta artifisiel yo kriyé "Izrayel".
Abidjan - Elles prennent du "grossifesse", onguent miracle au nom révélateur ou se couvrent le derrière de gaines "push-ups" : en Côte d'Ivoire, où "big is beautiful", les femmes rivalisent d'ingéniosité pour élargir leurs formes. La filiforme Kate Moss et ses égéries n'ont jamais eu la cote à Abidjan. "En Côte d'Ivoire, pour être belle, il faut avoir un beau bassin", observe Sarah, une commerçante de 34 ans. "Les hommes préfèrent les femmes un peu fessues".