Nan tan éti poko té ni nouvel lamétéo anlè lé-média, moun té konnet òbsèvé lanati pou chaché sav es tjek mové katastrof té ka paré kò’y pou rivé asou Matinik. Yo té ka gadé lanmanniè dé sèten zibié té ka volé, zafè van-an té ka anni sispann blip oben es fey dé sèten gran piébwa té ka anni tounen lanvè.
Lavey Tou yol Matinik, an évènman ki si-telman pòtalan ba péyi-a, nou wè mè an komin fè lestonmak anlè sé òganizatè-a pou di yo kon sa i pé ké ba yo sibvansion 40.000 éwo-a i té pwonmet yo a. Poutji sa ? Davwa yo pa té prévwè pasé an koté nan lanmè-a éti Misié Li-Mè té lé yo pasé a tout fos !!! Nan menm balan-an, an sanblaj mè menm réjion-an déklaré konmkwa yo pé ké vèsé an patat lajan non pli. Final-di-kont, yo rivé touvé an lakòday ek Tou Yol koumansé, mé sa ki fet la ka viré lévé an bidim poblenm nan péyi-a : poblenm sé mè-a ki ka pwan kò-yo pou dé Wa neg.
Sé jou-tala, adan tout jounal, radio ek télé fwansé, moun ka vréyé labou davwè lafanmi Wa l’Arabi séoudit pou otijpé an plaj li-sid la Fwans pou’y yonn pannan yon mwa. Sé Vallauris ki non plaj-tala, an vié kalté plaj tou piti ek led, ki ni an patjé woch alantou’y !
Pourquoi l'hôtel de Région s'est-il transformé en chapelle, église, temple, je ne sais trop de quelle obédience, lors du passage du Révérend Jackson ? Serait-ce pour montrer qu'il était acquis à la cause du dieu des lieux qui, entouré de ses acolytes, y officiait avec le très riche Révérend afro-américain ?
Un jour de pluie à la Barbade est bien mieux que plusieurs semaines de soleil n'importe où ailleurs dans le monde!" Tel est l'un des commentaires les plus courants parmi les guides touristiques qui parcourent l'île avec des groupes de visiteurs étrangers. Quand je l'ai entendu pour la première fois, j'ai souris sans beaucoup de conviction. Mais aujourd'hui, après plus de trois ans de vie dans cette petite île, cette phrase a fini par devenir ma devise quotidienne.
Il y a quelques mois, sur des sites amis et sur le mien, j’ai alerté les lecteurs de mes chroniques linguistiques, en Haïti et outre-mer, à propos du mode controversé de constitution de l’Académie créole, de son défaut originel de vision et des errements institutionnels qui allaient en découler. Lors j’avais pris soin de consigner mes désaccords théoriques et ma réflexion de linguiste dans deux interventions distinctes : « L’Académie créole : « lobby », « ONG » ou institution d’État sous mandat d’aménagement linguistique ? [1]», et « Pour une Académie créole régie par une loi fondatrice d’aménagement linguistique [2] ».
Par Hamza Hamouchene http://www.huffpostmaghreb.com/
Samedi, 25 Juillet, 2015 - 17:04
Frantz Fanon est mort quelques mois avant l'indépendance de l'Algérie en juillet 1962. Il n'a pas vécu pour voir son pays d'adoption s'affranchir de la domination coloniale française, une chose qu'il pensait être devenue inévitable. Cet intellectuel radical et révolutionnaire s'est consacré corps et âme à la libération nationale algérienne et a été un prisme à travers lequel de nombreux révolutionnaires étrangers ont compris l'Algérie et l'une des raisons pour lesquelles le pays est devenu synonyme de révolution du tiers monde.
Le maire de L’Hôpital (Moselle) a été mis en examen pour «prise illégale d’intérêts par un élu public dans une affaire dont il assure l’administration ou la surveillance». L’élu avait embauché sa fille et son compagnon pour assurer la gestion d’un bâtiment appartenant à la ville.
Apparue en Afrique pour la première fois en 1781, la Franc maçonnerie doit être considérée par tout africain soucieux de voir une Afrique libérée comme étant son pire ennemi
Anlo moun ka wouklé sé jou-tala, soutou fanm, pa rapot a an mes ki sòti jis l’Anmérik : « car wash » ki non sa an anglé kivédi pwoptaj loto. Jenn fanm an fom ka mété kò-yo an bikini ek ka fè wol pwopté an loto épi dlo ek savon toupannan an gwo mizik (méritjen oben janmayiken) ka woulé. Tanzantan, yo ka trapé an tiyo pou vréyé dlo anlè teg loto-a, men pi souvan ki rarman, sé anlè sé lézot kanmarad-yo a. Sa ka pèmet tout moun wè bout tété-yo oben pwel kokot-yo. Pep-la ki ka gadé espektak-tala anlè ! Laplipa adan yo sé jenn nonm ki za ni bon alkol anlè yo oben bon zeb nan tet-yo.
Nous avions osé croire que lorsque nous serions venus montrer notre mécontentement à madame la Ministre de la Justice, nous aurions quelques chances d'être entendus, alors nous avons osé manifester.
Elue depuis un peu plus de deux ans à la tête de notre université, Mme Corinne MENCE-CASTER n'a cessé de subir des tentatives de délégitimation répétées s'appuyant sur un harcèlement et un dénigrement permanents. Non seulement elle n'a jamais été respectée dans sa fonction par ceux qui se sont donnés mission de l'abattre (essentiellement les membres et sympathisants du CEREGMIA), mais aussi dans sa personne.
Kidonk Tribinal administratif Fodfwans fini rijété, jou vandrédi 24 juiyé tala, an « référé » ki sé dé ex-met-a-manyok CEREGMIA a, Fred Célimène ek Kinvi Logossah, té dépozé douvan’y lasimenn pasé. Référé-tala, ki Met Philippe Edmond-Mariette té ka défann, sé té pou kasé an désizion sispansion ki prézidant Linivèsité lé Zantiy, Man Corinne Mencé-Caster, té pwan kont yo.
Il faut d’abord remercier la municipalité et ensuite les membres actifs du Foyer Rural Les ARAWAKS au C.A.S.E. qui ont décidé d’honorer et d’animer la soirée.
Il faut d’autre part remercier la municipalité et les jeunes travailleurs du Service Technique pour l’installation du podium et l’entretien des environs en vue de faire que tout se passe bien. « Yo fè an bel travay ». Remerciement à vous, invités, d’être venus nombreux à cette soirée. Au C.A.S.E., les personnes ou groupes désignés vont animer le programme de la soirée. Il y a entre autres de l’animation prévue le samedi de personnes de la Légion de Marie soutenue par la paroisse de St-Etienne. Applaudissons toutes ces personnes.
Il est toujours bon de commencer par des évidences dans cette Martinique où les gens ont tendance à confondre « koko » et « zabriko » selon une vieille expression créole.
D’abord, Blancs américains et Noirs américains vivent sur le même territoire, dans le même pays qu’ils ont bâti ensemble, certes sur fond de génocide amérindien et d’esclavage des Africains. Quoique tragique, l’histoire de chacun de ces deux groupes est totalement imbriquée, même si la ségrégation pouvait donner le sentiment inverse. Blancs et Noirs n’ont jamais vécu totalement séparés les uns des autres depuis la plantation de coton dans l’Alabama jusqu’aux studios actuels de Hollywood en passant par les années de la Black Renaissance et du jazz dans les années 1920-30 du XXè siècle. Ou encore l’US Army durant les deux guerres mondiales.
Au moment de rédiger cet article, j’avoue être envahi par un sentiment mitigé, écartelé entre la volonté de dire le fond de ma pensée, et celle d’adresser un message d’espoir à la population Guadeloupéenne, malgré les circonstances inquiétantes.
Devant ce choix Cornélien, oui c’est bien de cela qu’il s’agit, j’ai choisi en mon âme et conscience de ne pas céder à la facilité mais de conjuguer au présent.