Le magazine Challenges publie son classement annuel des 500 plus grandes fortunes de France. 13 familles liées aux Outre-mer sont membres de ce club très fermés. Mais cette année, les riches ultramarins baissent dans le classement.
French, African and Indian Journeys toward a Pluralistic Society
Vendredi, 10 Juillet, 2015 - 17:50
This book explores the history of immigration and development of cultural identities on the island of Martinique from 1635 to the present, with particular attention to the major cultural groups-African, French, and Indian-as well as the role of the indigenous Caribs in cultural hybridization.
Uno de los principales periódicos mexicanos, La Jornada lanzó recientemente una edición con contenido en maya que se publicará todos los días en Mérida, capital del estado de Yucatán al sureste mexicano. El maya es la segunda lengua indígena del país numéricamente más importante, sólo después del náhuatl, según información del Instituto Nacional de Estadística, Geografía e Informática (INEGI).
En présence de quelques membres de l’Académie du créole haïtien, du directeur général du Ministère de l’Education nationale et de la Formation professionnelle(MENFP), le ministre de l'Education Nesmy Manigat et le président du conseil d’administration de l’Académie du créole haïtien, Jean Pauris Jean Baptiste, ont signé un protocole d’accord visant à faire la promotion de la langue créole et du droit linguistique dans le pays. Ce protocole d’accord fixe le rôle et la responsabilité des deux institutions concernant la langue créole dans le système éducatif, particulièrement dans le curriculum du système.
Depuis quelques jours, l'avocat du CEREGMIA s'agite dans les médias, habité par une sorte de fièvre obsidionale, genre Louis de Funès, qui prêterait à sourire si 10 millions d'euros de fonds européens n'étaient pas en cause et surtout s'il n'y allait pas du devenir de notre université chargée de former en priorité les jeunes dont les parents n'ont pas les moyens de les envoyer étudier à l'extérieur. Des enfants des classes populaires. Notre Université joue donc un rôle d'ascenceur social pour beaucoup.
Mardi, les banques centrales des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) ont signé un accord sur le soutien mutuel des pays membres de l'alliance. Ils ont également crée un pool de réserves monétaires du groupe et ont indiqué les conditions de son fonctionnement. Cette nouvelle structure est une alternative au FMI et à la Banque mondiale, qui sont contrôlées par les Etats-Unis et qui perdent peu à peu de leur influence.
Il est des gens qui vivent dans l’indécence et se revendiquent d’elle.
Il est des élus politiques qui se sont déclarés « soldats » de Serge Letchimy mais qui ont omis de dire qu’ils étaient aussi des soldats de Fred Célimène.
Alors comment ne pas se rappeler la petite phrase de PEM à propos des sources de financements d’un certain parti politique, pas étrangers à ces soldats ?
Nous n'irons point jusqu'à exiger du tonton du neveu du cousin indélicat, qu'il fournisse des preuves ADN attestant de leur non filiation. L'on irait trop vite nous blâmer d'acharnement contre lui, et l'on userait tout de suite de ce terme devenu à la mode, en Martinique, surtout à chaque fois que l'on parle de CEREGMIA.
L'autre soir, on a eu à la télé une image de ce que la Martinique a produit de plus puant depuis l'abolition de l'esclavage à savoir ces personnages sortis des couches populaires qui, parce qu'ils ont eu une "ti zizing d'instruction" (une simple licence en droit par exemple) se prennent pour des sommités et se mettent à discourir, pérorer, donner des leçons, tout en menaçant ceux qu'ils estiment entraver leur chemin.
Bèna sé an boug, dépi toupiti i enmen chouval. Poutan papa’y pa ni pies popiété, ni menm an tjuyè tè. Lè misié té tibray, papa’y té ka mété’y a dada anlè do’y. Dépi sa i mandé papa’y achté an chouval ba’y é sa pa ka kouté dé sou.
Nous, enseignants stagiaires n’acceptons pas que :
Malgré plusieurs centaines de martiniquais qui ont signé une pétition pour notre maintien en Martinique
Malgré les motions votées à l’unanimité le 6 mai par le Conseil Régional et le 21 mai par le Conseil Général pour que nous puissions vivre et travailler dans notre pays
Malgré les interventions dans le même sens de tous les parlementaires de Martinique
Malgré les efforts affichés du Rectorat de Martinique auprès du Ministère
Malgré l’existence de moyens nous permettant de rester sur place, maintien sur place qui ne posait aucune difficulté lorsque nous étions contractuels
La Rédaction de Quartiers XXI http://quartiersxxi.org/
Mardi, 7 Juillet, 2015 - 22:31
Depuis l’apparition du mouvement Black Lives Matter (Les vies noires comptent) et les émeutes de Ferguson aux États-Unis, l’ampleur de la dénonciation des crimes racistes et d’une violence systémique contre les Noirs semblent donner un second souffle au combat contre le « colonialisme domestique » que ciblait le Black Panther Party.
Par Cathy LIMINANA-DEMBELE http://blogs.mediapart.fr/
Mardi, 7 Juillet, 2015 - 20:47
Le Mémorial ACTe, s'ouvrant ce 7 juillet 2015 après avoir été inauguré par François Hollande le 10 mai, affiche l'ambition d'offrir un lieu dédié à la mémoire collective de l'esclavage et de la traite des noirs, le premier auquel l’État apporte son financement. Pour satisfaire sa visée d'être le plus grand au monde, une somptueuse architecture habille son projet ainsi qualifié des racines d'argent pour une boîte noire. Ma présente tribune vient ouvrir cette boîte noire, qui fort malheureusement nous informe d'un contenu afrocide au service de la célébration d'une mémoire assise sur les privilèges, ceux de la blanchitude.
Après l’industrie agro-alimentaire, le groupe français a jeté son dévolu sur le secteur automobile. Le groupe Bernard Hayot vient de racheter le distributeur automobile ivoirien, SOCIDA, pour un montant resté inconnu.
Comme pour beaucoup, sans doute le plus grand nombre, la rue Antoine Siger a longtemps été pour moi un simple nom de rue à Fort-de-France. Pourtant, ma grand-mère paternelle chinoise (née Yang-Ting) y habitait depuis le début du XXe siècle et nous, la marmaille, dans les années 50-60, fréquentions le lieu plus souvent que rarement. Une chose m'avait très tôt intriguée : aucun de mes différents parents ne l'appelait par son nom. Ils disaient "la rue du Marché"ou "la rue du Grand Marché", ce qui, somme toute n'attirait pas l'attention, car à cette époque-là, la rue François Arago, toute proche, n'était jamais appelée autrement que "la Rue des Syriens". Il y avait aussi la rue du Palais de Justice ou la rue de la Cathédrale.
ENTRETIEN DU WEEK-END- Son nom a fait le tour de l’Empire du Milieu.
Du Guangdong au Heilongjiang ou encore de l’Urumqi à Nanjing, en passant par Beijing et Wuhan, il n’y a pas un étudiant sénégalais qui ne connaisse l’acronyme MALF, comprenez Mame Awa Ly Fall. La présidente de l’AESC fait partie de ces personnes qui ont le sens de l’auto-sacrifice pour la communauté. En effet, Il n’est pas rare d’entendre les étudiants tenir des propos élogieux à son égard, faisant allusion à sa promptitude et son pragmatisme à diligenter les problèmes des étudiants quels qu’ils soient. A la rencontre de cette <<mère thérèsa=»»>>, ce qui frappe de prime abord est cette chaleur humaine se reflétant sur un visage radieux, auréolé d’un sourire enjôleur que ne dépare nullement son diastème inférieur, le tout dans une aisance à communiquer et une élégance dans l’accoutrement soigné. Traits de caractère sans doute ataviques pour cette ressortissante de Ngumba Gueewul, bourg du Sénégal à cheval entre un ndiambour pastoral et un cayor agricole, terreau fertile, témoin de fructueux métissages historiques, de cohabitation confrérique harmonieuse et écrin pour l’éclosion d’illustres prodiges comme le grand savant Seydi Alioune Ba. Interview réalisée par Alhassane Diop
Hay quien pretende hacerlo pasar por un chulo, por una especie de macarra de discoteca. Pero lo cierto es que Yanis Varufakis (Palaio Faliro, 1961) es un tipo de maneras exquisitas. "Díganme, ¿qué puedo hacer por ustedes?", pregunta solícito y sonriente nada más abrirnos la puerta de su despacho, en el sexto piso del Ministerio de Economía y Finanzas griego.
Varufakis está cansado y no lo oculta. Desde que hace cinco meses este respetado profesor se convirtiera en ministro de Economía griego, su vida ha sido un no parar. Y más aún en los últimos días, desde que el viernes de la semana pasada Alexis Tsipras, el primer ministro heleno, anunciara su rechazo al acuerdo que Bruselas proponía a Atenas a cambio de seguir prestándole dinero y decidiera someterlo a referéndum.Hay quien pretende hacerlo pasar por un chulo, por una especie de macarra de discoteca. Pero lo cierto es que Yanis Varufakis (Palaio Faliro, 1961) es un tipo de maneras exquisitas. "Díganme, ¿qué puedo hacer por ustedes?", pregunta solícito y sonriente nada más abrirnos la puerta de su despacho, en el sexto piso del Ministerio de Economía y Finanzas griego.