Le 7 mars 2015 en librairie, «Alfred MARIE-JEANNE, une traversée verticale du siècle» de Louis Boutrin et Raphaël Confiant, le premier ouvrage de la nouvelle collection des Editions Caraïbéditions «Figures politiques d’Outre-Mer». Cette publication est le premier ouvrage sur Alfred Marie-Jeanne et le parti qu’il a fondé, le MIM.
En 2003, il y a donc une bonne dizaine d'années, Jean-Emile Symphor, maître de conférences en mathématiques sur la campus e Schoelcher (Martinique), publiait un texte de réflexion intitulé "Pour une Université des Antilles et de la Guyane rénovée". Ce texte, prémonitoire s'il en est, fait écho à l'actualité...
Nos avons reçu un message de Yann Descas, étudiant à l'Université des Antilles et signataire de la lettre adressée à Serge Letchimy, président de la Région Martinique. Il nous écrit : « j’exige que les signatures paru sur le courrier des élus étudiant du 06/03/2015 soit supprimer, car nous n'avons jamais été mis au courant d'un quelconque transfert au médias de ce présent courrier Veuillez respecter la jeunesse antillaise. » Dans ce courrier les étudiants demandent une rencontre « dans les plus brefs délais » parce qu’ils ont « le sentiment que leur Président de Région ne s’implique pas sur le dossier de l’avenir de la jeunesse martiniquaise, car dans ce dossier, on entend uniquement le Président de la Région Guadeloupe Victorin Lurel.» Parce qu’à Freepawol, nous respectons la jeunesse antillaise, nous répondons ici, à ce jeune Martiniquais.
En ce 8 mars, «Journée internationale de la femme», nul doute que nous assisterons au ballet habituel des organisations féministes, des politiques de tous bords, des services de l’État et de personnalités de la société civile qui chanteront en chœur le respect que mérite la femme martiniquaise, «fanm poto-mitan»,«fanm-doubout» et autres bla-bla-bla.
A l'occasion du 08 mars, "JOURNEE INTERNATIONALE DE LA FEMME", nous republions cet article paru il y a quelques mois sur le site FREEPAWOL de la courageuse et hyper-compétente journaliste qu'est Lisa David".
Pierre Delcourt, né au Congo, a longtemps vécu à la Martinique, pays qu'il a beaucoup apprécié. Il travaille désormais sur la côte Pacifique de la Colombie. Le texte ci-après est un extrait d'un manuscrit qu'il a écrit et qui sera publié en juin prochain. Son titre: "MADININA MON AMOUR"
"Si très rapidement, nous n’arrivons pas à stabiliser au mieux l’établissement et si les acteurs ne gardent pas à l’esprit que le meilleur choix est bien de rester sur la base d’un établissement unique, alors le système actuel sera à terme menacé", estime Corinne Mencé-Caster, présidente de l’université des Antilles, lors d’un entretien à AEF, jeudi 26 février 2015, pointant "un risque de concurrence effrénée entre les pôles guadeloupéen et martiniquais". Après le vote des députés sur le texte concernant les universités des Antilles et de la Guyane (lire sur AEF), elle souhaite "que les choix qui seront faits respectent l’esprit de la loi ESR" sans faire de son établissement "une exception", et espère qu' "un "compromis pourra être trouvé", lors de la CMP. Sur l’affaire du Ceregmia, elle évoque une "menace au niveau financier", l’université étant amenée à rembourser entre "8 et 10 M€".
Homme discret, Eric Courset, conseiller général de Sainte-Marie, affilié au RDM de Claude Lise et conseiller municipal de la grande ville du Nord-Atlantique, clame sa vérité dans une lettre sans concession...
Elle n'est ni dans la musique, ni dans la cuisine, ni dans l'architecture, ni dans la pharmacopée, ni dans la langue, ni dans le magico-religieux, ni dans les techniques de pêche, ni dans les traditions agricoles, toutes choses que nous partageons, hormis d'inévitables variantes, avec les autres îles de l'archipel caribéen.
A la suite de la ratification par l'Assemblée nationale, le 19 février dernier, de l'ordonnance créant l'Université des Antilles, la présidente de cette dernière (et cela jusqu'en décembre 2016), Corinne Mencé-Caster, est interrogée dans l'émission "DECRYPTAGES" de radio MARTINIQUE 1ère...
Simenn pasé pandan kannaval la, menmsi té ni gran chawa, pa té ni bwabwa anlè sé nonm politik la. Mé ou sé di sé madanm lan ki an politik la, chien pisé anlè yo.
au-delà de l’identité ou l’ouvroir anthropologique de l’écrivain des Tropiques
Lundi, 2 Mars, 2015 - 16:40
Métaspora. Essai sur les patries intimes de Joël Des Rosiers est le fruit d'un long et pertinent travail de réflexion qui se donne pour ambition de s’ouvrir aux expériences sensibles, aux modifications des pratiques et des représentations que les «égarés» produisent, car issues des richesses inépuisables de la confusion du monde et de l’enchevêtrement des cultures. C’est que la mondialisation des idées, des biens et de la littérature est un phénomène déjà ancien.
Le 8 mars est pour nous et doit rester une journée militante, faisant la différence avec les nombreuses manifestations uniquement festives et vidées du sens de cette journée.
Notre volonté est, dans une ambiance conviviale, de porter des revendications militantes sur les droits des femmes ici et dans le monde.
Ce 8 mars est d'autant plus important qu'il marque le départ de la 4° Marche Mondiale des Femmes, initiative qui rassemble les femmes du monde entier.
Sept ans que l’on attendait une nouvelle oeuvre de Nathacha Appanah. Et, pour son retour romanesque, Nathacha Appanah passe par la grande porte. Celle de la collection «Blanche» de Gallimard. C’est la grande collection de littérature et de critique française de la maison d’édition, née en 1911, avec les premiers titres des Éditions de la Nouvelle revue française (NRF). La collection «Blanche» est parmi les plus titrées, avec ses 32 prix Goncourt.
La lettre de la présidente de l'Université des Antilles à Geneviève Fioraso est plus que jamais d'actualité et montre bien que la situation de l'Université des Antilles est loin d'être isolée ou exceptionnelle. Plus que jamais la solidariité entre la Guadeloupe et la Martinique doit être de mise, pour réclamer les moyens dont les étudiants antillais ont besoin pour travailler sereinement à la construction de leur avenir professionnel.
Ce mois de février 2015 marque la huitième année d'existence de notre site-web, entreprise qui a été marquée par le dévouement d'abord de nos webmasters : notre regretté Pierre Papaya, trop tôt parti, grand militant de la cause martiniquaise mais aussi internationaliste convaincu, Alfons, notre pilier et Francesca, notre Suissesse, qui est là, toujours là, chaque fois que nous faisons appel à ses services.