Pendant que dans les dernières colonies françaises d'Amérique, ça pleurniche sur Facebook à cause de l'arrivée massive de touristes hexagonaux, Barbade cherche à attirer du monde.
Prime Minister Mia Amor Mottley listens attentively to 11-year-old award-winning film maker, Maria Marshall, during a courtesy call at Ilaro Court today. (C. Pitt/BGIS)
La vidéo ci-après est tout à fait explicite. Elle n'a nul besoin de longs discours pour interpeller chaque Martiniquais (e), notamment celles et ceux qui s'y rendent en vacances.
Notre soeur du sud de l'archipel, la Barbade, est en deuil. Arthur OWEN qui fut 14 ans durant son premier ministre, vient de décéder à l'âge de 70 ans.
Les secteurs du transport aérien et de l’artisanat figuraient au centre d’entretiens qu’ont eus, vendredi à Rabat, le ministre du Tourisme, du Transport aérien, de l’Artisanat et de l’Économie sociale, Mohamed Sajid, et la Première ministre de la Barbade, Mia Amor Mottley.
La première ministre de la Barbade, Mia Mottely, a décliné l'invitation du secrétaire d'État américain Mike Pompeo à une réunion des ministres des affaires étrangères en Jamaïque, où il devrait arriver demain mardi, car elle estime que cette invitation, comme celle adressée à certains pays seulement et non à l'ensemble de la Communauté des Caraïbes (Caricom), vise à diviser la région.
Il existe une longue relation d'amour entre le Canada et la Barbade. Les Canadiens, qui ont aidé ce pays à se construire dans les années 60 et 70, sont parmi les voyageurs détenant le plus haut taux de répétition au monde : plus de 40 % des Canadiens ayant visité la Barbade y sont allés plusieurs fois, affirme Richard Sealy, ministre du Tourisme de la Barbade. «Malgré la baisse du nombre de touristes internationaux depuis les dernières années, le marché canadien est en hausse», ajoute-t-il.
Malgré son jeune âge, Zander Venezia était un surfeur expérimenté. Malheureusement, il a perdu la vie hier matin alors qu'il surfait un reefbreak dans de grosses conditions.
Non, mais jour après jour, on voit carrément n'importe quoi dans les dernières colonies françaises d'Amérique qui semblent n'avoir guère changé, sauf de manière cosmétique, depuis que le Père LABAT les arpenta au XVIIe siècle. C'est ainsi qu'un site-web d'une des îles sur laquelle flotte fièrement le drapeau bleu-blanc-rouge et où l'on chante la Marseillaise chaque 14 juillet en place publique, s'est permis de titrer :
"CARIFESTA : le gouvernement barbadien n'a pas assuré"