Venezuela. En l’absence d’une partie de l’opposition, qui a boycotté les municipales de dimanche, le Parti socialiste uni et ses alliés remportent 22 capitales des 23 États.
Plus de 300 mairies gagnées sur les 335 à pourvoir, un poste de gouverneur repris à la droite dans l’État pétrolier stratégique du Zulia. L’importante victoire du chavisme aux élections du 10 décembre 2017 confirme – comme lors des votes de juillet et d’octobre – l’abîme entre l’image martelée par les médias d’une « dictature » et une démocratie qui bat des records en matière d’élections. Ce scrutin est le 24ème en 18 ans de révolution. Le Conseil des Experts Electoraux d’Amérique Latine (CEELA) (1) a rappelé par la voix de son président Nicanor Moscoso que les partis de droite comme de gauche ont déclaré être satisfaits du déroulement des 9 audits préalables aux élections : « Ce processus d’audit est inédit et unique dans la région. Il permet que toutes les étapes du processus, tout ce qui est programmé et tout ce qui fait partie du processus soit contrôlé par des techniciens et par les membres des différents partis politiques délégués devant le Centre National Électoral »
La République bolivarienne du Venezuela rejette fermement la décision du Conseil de l’Union européenne d’imposer des sanctions illégales, absurdes et inefficaces contre le peuple vénézuélien. Les institutions européennes démontrent leur honteuse et déplorable subordination aux avis du gouvernement des Etats-Unis, violant de manière éhontée le droit international et les principes sacrés du respect de la souveraineté, de l'autodétermination des peuples et de la noningérence dans les affaires intérieures des États, tous énoncés dans la Charte des Nations unies.
Ces actions du Conseil européen qui suivent évidement la ligne de conduite agressive de Washington se fondent sur des arguments qui semblent tirés des sanctions qui ont été récemment délivrées par l’administration Trump contre le Venezuela et son peuple.
Le Venezuela a libellé vendredi ses ventes de pétrole en yuan chinois, une décision destinée à libérer le pays de la "tyrannie du dollar", selon le ministère du Pétrole.
El petrodólar es más importante para la dominación global estadounidense que la exportación de armas o la cultura hollywoodense, porque permite que EEUU sea el mayor exportador de billetes de dólares que todo el mundo necesita para comprar petróleo. Venezuela ha decidido dar pasos en la desdolarización de su economía. Para conocer las implicaciones se requiere mirar el contexto geopolítico en que esto ocurre.
El presidente de la República Bolivariana de Venezuela, Nicolás Maduro, indicó este martes a su par estadounidense, Donald Trump, que está listo para sentarse a dialogar sobre la paz y la prosperidad del continente cuando él lo disponga.
Un article récent du New York Times, intitulé « les supporters de Maduro sont pris pour cibles à Miami », décrit le groupe de plus en plus bruyant d’ « exilés » vénézuéliens anti-gouvernementaux vivant aux États-Unis qui renforcent leurs tactiques d’agitation et de harcèlement contre les Vénézuéliens qui soutiennent le gouvernement socialiste du président Nicolas Maduro, L’opposition vénézuélienne a bénéficié du soutien inconditionnel du gouvernement US et des médias – qu’ils soient conservateurs ou libéraux - qui, tous en choeur, diabolisent et sapent le gouvernement démocratiquement élu de la nation, qualifié de dictature brutale, tout en dépeignant l’opposition financée par les États-Unis et souvent violente comme des manifestants anti-gouvernementaux pacifiques et démocratiques.
Nou toujou ka bliyé ki Bénézwel, abo(même si/although) i anlè boul-tè(continent) sid-méritjen an, sé an péyi ki karibéyen tou. Dayè, tout moun ka chonjé lè Hugo CHAVEZ rivé o pouvwè, i mété lamenm doubout an sikti(organisme) yo ka kriyé PETROCARIBE pou sa vann pétwol mwen chè ba sé ti zil-nou an oben menm délè, ba yo pétwol pou ayen. Sé ki moun Benezwel pa janmen bliyé ki an tan lontan, lè yo té ka goumen pou lendépandans-yo kont l'Espay, met-a-manyok yo (leader) kivédi Simon BOLIVAR té kouri-alé Ayiti, a an moman éti i té ka pwan fè, pou sa mandé soukou. Sé kon sa prézidan ayisien lépok-tala,, PETION, té ba'y lajan épi zam pou BOLIVAR té pé kontinié ranboulzay-la (révolution).
Le Gouvernement de la République bolivarienne du Venezuela manifeste son ferme rejet des regrettables déclarations du Président Emmanuel Macron dans le cadre d’une réunion d’Ambassadeurs à Paris, le 29 août 2017, qui constituent une nette ingérence dans les affaires intérieures de la République bolivarienne du Venezuela.
En el artículo “Firmas por espejitos” publicado por Aporrea el 26/05/2016, se menciona brevemente el: con qué, cómo, cuándo, por qué, para qué y quiénes asesinaron al ex presidente de Venezuela Hugo Rafael Chávez Frías. Las respuestas a estas preguntas fueron obtenidas de una Investigación Documental. A continuación se ampliará el con qué y quiénes.
VENEZUELA - L'ancienne star du football argentin Diego Maradona a envoyé mardi 8 août un message de soutien au président vénézuélien Nicolas Maduro, dont le pays traverse une grave crise politique, précisant qu'il s'offrait à lui comme "soldat" de la révolution bolivarienne.
Le processus électoral qu’a vécu dimanche le Venezuela et les résultats quantitatifs du vote pour la constituante (plus de huit millions de suffrages exprimés) montrent clairement un triomphe du chavisme, avec une corrélation très forte sur les plans politique et symbolique.
Caracas, julio 10 - El defensor del Pueblo, Tarek William Saab, informó este domingo que el día anterior sujetos intentaron lichar a un hombre afuera de una residencia del Paraíso, en Caracas.
Le commissariat est un tas de ruines et de cendres. Il a été assiégé pendant quatre heures par un groupe d’une vingtaine de personnes munies d’armes à feu et un tireur d’élite, qui ont fini par l’incendier et le détruire en utilisant une excavatrice volée dans un établissement appartenant à ‘état lors de pillages. Six policiers ont été blessés. C’est tout juste s’ils ont pu sauver leur peau car ils étaient moins nombreux que les paramilitaires qui leur ont tiré dessus quatre heures durant dans l’objectif de les tuer. Combien de balles pendant une telle durée ?
Ce lundi, le banquier Fortunato Benacerraf Saias, directeur de la banque « 100% Banco » a été arrêté et mis en examen pour ses liens avec deux autres entrepreneurs dans le cadre de l’enquête sur le vaste sabotage informatique contre le Conseil National Électoral pour saboter l’élection de l’Assemblée Constituante du 30 juillet prochain. Cet exemple rappelle qu’au Venezuela la rébellion est celle des riches.
On croyait avoir tout vu de la part de l’extrême droite vénézuélienne (rhabillée en « combattante de la démocratie » par les médias français) : formation par les paramilitaires colombiens, terrorisme, attentats à l’explosif, destructions de centres de santé et de maternités, sous-traitance de violences par la pègre, utilisation d’enfants-mercenaires, assassinats et tortures (1). Hé bien non. On peut toujours faire mieux dans la barbarie. Avoir la peau trop foncée n’est pas conseillé si on veut participer aux manifestations des fils des beaux quartiers d’Altamira ou de Chacao (Est de Caracas): on peut être pris pour un « chaviste infiltré » (2).
La dialéctica de la revolución y el enfrentamiento de clases que la impulsa aproxima la crisis venezolana a su inexorable desenlace. Las alternativas son dos y sólo dos: consolidación y avance de la revolución o derrota de la revolución. La brutal ofensiva de la oposición -criminal por sus métodos y sus propósitos antidemocráticos- encuentra en los gobiernos conservadores de la región y en desprestigiados ex gobernantes figurones que inflan su pecho en defensa de la “oposición democrática” en Venezuela y exigen al gobierno de Maduro la inmediata liberación de los “presos políticos”.
¡No, América Latina no es un espantapájaros político! Ante el cuestionable tratamiento mediático de las izquierdas latinoamericanas por los medios de comunicación franceses, un conjunto de investigadores y especialistas de esta región ha deseado rectificar en esta tribuna algunas contra-verdades.
El 9 de enero de 2017, la Asamblea Nacional venezolana desconoció al Presidente de la República, Nicolás Maduro. Votaron a favor de ese golpe de estado constitucional todos los diputados de la oposición salvo los tres diputados del partido de Henry Falcón, quienes entendieron la gravedad de esa decisión. Venezuela es un sistema político presidencialista desde 1811, influido por el constitucionalismo norteamericano. Al Presidente le vota directamente el pueblo -a diferencia de un sistema parlamentario como el español, donde al Presidente le vota el Parlamento- y le corresponde al Presidente, que es el Jefe del Estado, la dirección del país. Cuando la Asamblea decidió desconocer el poder legítimo del Presidente se estaba poniendo al margen de la Constitución. Se colocaron por voluntad propia en desacato. La prensa internacional no dijo nada.