Le Vice-président ghanéen, le Dr Mahamudu Bawumia, a révélé que le gouvernement s’efforçait de faire du Ghana un exportateur net de riz, d’ici 2024. Il a déclaré qu’il y avait des plans en vue de réduire et d’éliminer la dépendance du pays vis-à-vis des importations de riz, ce qu’il a fait au fil du temps, de manière significative, grâce à diverses interventions.
Le texte ci-dessous et et le document audio dont il est la transcription ont été prêtés à l’ancien Président Jerry Rawlings. Dans la forme comme dans le fond, de par son contenu et l’aspect prosodique de l’intervention, le lecteur a si vite fait d’ajouter foi à son origine présumée, habilement suggérée. Mais aux dernières nouvelles, l’ancien Président désavoue tout lien avec ce document, qu’il tient pour « la fabrication d’un personnage sans visage, espiègle et sournois. » Mais ce désaveu de la propriété du document n’enlève rien à sa vérité sur le fond qui mérite débat, et de réveiller les Africains qui dorment pendant que la France viole allègrement leur mère Afrique.
L’Afrique fait sa rentrée. La langue de Molière était peu parlée dans ce pays anglophone, jusqu’à l’arrivée à sa tête du très francophile président Nana Afuko-Addo.
Au Ghana, l’immense majorité des voitures sont étrangères, comme ailleurs en Afrique : européennes, américaines ou japonaises. Aujourd’hui, le Ghana a son propre entreprise ghanéenne de construction automobile, Kantanka Automobile, qui fait également de son mieux pour ouvrir de nouveaux horizons.
Il est des voyages en terre d’islam enchanteurs, jalonnés de découvertes historiques fascinantes, à l’image de celui qui invite à remonter le temps sur la route des mosquées les plus pittoresques et emblématiques qui soient…
Le Ghana a beau être un modèle du point de vue de la démocratie formelle et de la lutte anticorruption. Un modèle aussi du point de vue de la rigueur budgétaire, il est loin, très loin d'avoir franchi le mur de la pauvreté qui frappe les pays dits du Sud.
Alors que nos afrocentristes antillais et négropolitains continuent à nier farouchement le rôle joué par les royaumes africains dans le commerce des esclaves vers les Amériques, voici que des chefs traditionnels du Ghana demandent publiquement pardon à une délégation de Jamaïcains en visite dans leur pays.
Prendre des pilules dès la grossesse pour espérer avoir un enfant à la peau clair. C'est une nouvelle tendance au Ghana, mais selon les autorités, une telle pratique présente de graves dangers pour la santé.
Au Ghana, dans le district d’Upper Denkyira East, les écolières peuvent aller à l’école tous les jours de la semaine sauf le mardi, et lorsqu’elles sont indisposées. La raison : leur école se trouve derrière un pont et pour s’y rendre, elles doivent traverser une rivière. Mais dans la tradition et par respect pour la divinité locale, c’est inimaginable d’enfreindre la règle : «Les dieux seraient en colère».
AFRICANGLOBE – A former Director of the Institute of African Studies, Professor Akosua Adomako Ampofo, has started a campaign asking for the removal of the statue of Indian independence icon, Mahatma Ghandi, from the University of Ghana campus. Prof Adomako Ampofo is urging members of the University of Ghana Council to heed her petition arguing among other things that, Ghandi was racist against Black people and honoring him set the wrong example for students.
Dans une interview accordée au média « Today », le professeur Edmund Delle, qui est médecin chef et consultant dermatologue dans une clinique de renom au Ghana, a fait une révélation troublante. Il a révélé qu’au Ghana, plusieurs femmes ont recours au ciment, pour se blanchir la peau. Selon lui, pour atteindre leurs objectifs de dépigmentation, ces femmes utilisent divers produits chimiques qu’elles mélangent avec une pâte dentifrice appelée « Pepsodent ».
Si le bilan de Kofi Annan à l’ONU est une réussite incontestée en matière de management, de gestion et d’efficacité, il est extrêmement critiqué au plan politique. En tant que secrétaire général, il s’est appliqué à adapter l’Organisation au monde unipolaire et à la globalisation de l’hégémonie US. Il a remis en question les fondements idéologiques de l’ONU et l’a privée de sa capacité à prévenir les conflits. Pourtant, il est aujourd’hui chargé de résoudre la crise syrienne.