Note. Même si elle ne partage pas forcément tous les éléments contenus dans l'article ci-dessous, la rédaction de cameroonvoice a bien voulu le publier, vu sa pertinence, dans cette section du site, afin de susciter réflexion et débat. Nous vous conseillons vivement de le lire de bout en bout.
À 25 ans à peine, Arthur Zang, un jeune ingénieur camerounais a déjà eu les honneurs de la presse locale et internationale. Son nom figure par exemple sur la liste des 30 entrepreneurs africains de moins de 30 ans les plus brillants établie l’an dernier par Forbes, le magazine américain dédié aux affaires. « En matière d’innovation, il représente ce qu’il y a de mieux en Afrique », notait Forbes.
« El Pacho » est le pseudonyme que s’est choisi mon interlocuteur _étudiant camerounais résolument optimiste en la vision qu’il se fait (néanmoins très critique et sans complaisance) de l’avenir de son pays_ pour les besoins de cet article qui exprimera aussi mes retrouvailles avec ce pays qui m’offrît sa lumière pour premier jour en ce monde il y a 46 ans.