Le grand sémiologue italien Umberto ECO a écrit que "les réseaux sociaux sont la revanche des cons", ce en quoi tout démontre qu'il ne sait, hélas, pas trompé.
Il n'y aura personne, comme de bien entendu, pour clore le bec de ce tocard de HOULLEBECQ suite à l'effondrement de sa fable islamophobe et raciste exposée dans son roman "Soumission" paru en 2015. A l'époque, les médias et une grande partie de l'intelligentsia germanopratine avaient célébré, voire porté au nues cet écrivain "visionnaire" qui "de façon saisissante" décrivait "le Grand Remplacement".
Tout le monde est "artiste" dans ce petit pays gros comme une tête d'épingle. Le moindre zigoto qui prétend sculpter une calebasse ou brailler dans un micro est aussitôt porté au pinacle par des médias qui ne s'occupent de choses sérieuses (chlordécone, illettrisme, chômage etc.) que quand la situation devient...sérieuse. C'est-à-dire quand, généralement, il est trop tard, quoi !
James Daniel Arbaugh, un missionnaire de 40 ans, a avoué avoir abusé sexuellement au moins 21 garçons haïtiens âgés entre 5 et 17 ans. L’homme d’église originaire de Stuarts Drafts, Virginie aurait commis ces actes pédophiles lors de ses voyages missionnaires dans le pays entre 2008 et 2017.
Anna était lingère pour le restaurateur Marc Veyrat, l'un des plus célèbres de France. Elle a travaillé plus de soixante heures par semaine, sans toucher le moindre revenu supplémentaire, ni repos compensateur, et sans jamais subir de visite médicale. Lorsqu'elle est devenue trop fatiguée, le cuisinier l'a licenciée. Le tribunal des prud'hommes d'Annecy l'a condamné en 2001 pour licenciement «sans cause réelle et sérieuse». Puis la chambre sociale de la cour d'appel de Chambéry a ajouté cette année des dommages et intérêts pour les heures supplémentaires et les repos compensateurs. Au total, Marc Veyrat doit payer plus de 250 000 euros. Il s'est pourvu en cassation.