Avec 853.314 visiteurs exactement accueillis l’an dernier, contre près de 790.000 en 2015, soit une hausse de 8,1%, l’année 2016 a marqué un record pour le tourisme en Martinique. Un tel niveau de fréquentation n’avait pas été atteint depuis 2000. Grâce notamment au tourisme de séjour représentant 519.303 arrivées (+6,5%) et aux croisiéristes, en progression de 14,25% en un an à 276.056 arrivées l’an dernier.
Quinze familles de l'automobile figurent dans le Top 500 des plus grandes fortunes de France publié par le magazine Challenges. Sept d'entre elles sont à la tête d'un groupe de distribution.
Classement. Pour la 15e année consécutive, le magazine Eco austral a réalisé son classement des entreprises de l’océan Indien. C’est le groupe Bernard Hayot, qui détient notamment l’enseigne Carrefour à la Réunion, qui se hisse sur la première place du classement régional du Top 500.
Comme chaque année, le magazine Challenges sort son classement des 500 fortunes de France. Cette année, c’est la famille Bettencourt qui se classe 1ère fortune française. Dans l’ensemble, les fortunes ultramarines se portent bien.
Après l’industrie agro-alimentaire, le groupe français a jeté son dévolu sur le secteur automobile. Le groupe Bernard Hayot vient de racheter le distributeur automobile ivoirien, SOCIDA, pour un montant resté inconnu.
GRAND-RIVIERE. Mercredi 22 février 16h00 -19h00. Réunion de travail de la CTM à l'hôtel de ville. Le Conseiller exécutif Louis BOUTRIN en charge de la pêche et de l'économie bleue a présenté au Maire Joachim BOUQUETY, President de la commission pêche de la CTM, l'état d'avancement des projets d'aménagement et d'installations de pêche : Abris de pêches, étales de vent, silos à glace, chambre froide. Une réunion fructueuse en mairie en compagnie des services de la CTM et des marins pêcheurs avant une visite sur le port territorial de GRAND-RIVIERE. Ce dossier en phase de finalisation sera présenté à la plénière du mois d'avril 2017 à l'Assemblee de Martinique.
La réflexion sur un revenu de base rejoint la revendication féministe de l’éthique du «care»: la reconnaissance du travail de soin, sous-payé et pourtant indispensable au fonctionnement de la société.
Issad Rebrab, le propriétaire du groupe algérien Cevital qui a racheté Brandt en 2014, met en avant la stratégie d'internationalisation du groupe et insiste sur le niveau des investissements dont la marque fait l'objet.
Novateur Macron? Certainement pas! Pour Thomas Porcher et Fréderic Farah, auteurs d’Introduction inquiète à la Macron-économie, il n'est que l'avatar d'une idéologie vieillotte, régressive et binaire.
Le samedi 7 janvier, les panafricains organisent pour la première fois, de Paris à Dakar en passant par Abidjan, Ouidah, Londres et Bruxelles, une journée internationale de mobilisation sur le thème du franc CFA et la nécessité de se défaire de cette monnaie postcoloniale.
(Agence Ecofin) - Au cours de l’année 2015, le Cameroun a détrôné la Côte d’Ivoire au rang de premier producteur de banane dans la zone Afrique-Caraïbes-Pacifique (ACP), en affichant une production record de 278 450 tonnes, vient de révéler le chef de la délégation de l’Union européenne au Cameroun, Françoise Collet.
Nombreux sont les internautes qui se demandent qui sont les présidents les plus riches d’Afrique de l’année 2016 ? Nous avons mené une investigation sur les chefs d’Etats africains qui détiennent les plus grosses fortunes sur le continent. Histoire de vous donner un aperçu de leur richesse, voici pour vous le top 10 du classement des chefs d’Etat ayant les fortunes les plus élevées du continent noir.
Dans "l’Imposture économique" (éditions de l’Atelier), ouvrage préfacé par Gaël Giraud, l’australien Steve Keen démolit tous les postulats de l’école conventionnelle néoclassique. Ces deux, économistes hétérodoxes, nous aident à repenser les enjeux modernes en partant d’une dialectique marxienne, tout en cherchant les outils d’une véritable révolution.
La contribution la plus connue de W. Arthur Lewis à l'économie du développement fut son travail de pionnier sur le transfert de main-d'œuvre d'un secteur capitaliste traditionnel à un secteur moderne disposant d'une offre illimitée de main-d'œuvre. Son article, « Development with Unlimited Supplies of Labour (1954) », a contribué à établir l'économie du développement comme un domaine d'étude spécialisé. L'article examine les mécanismes de transfert du surplus de main-d'œuvre du secteur traditionnel à un secteur capitaliste moderne disposant d'une main-d'œuvre illimitée.
Soumise au blocus de la flotte anglaise, l'économie de la partie française de Saint-Domingue accuse une diminution rapide et importante de la valeur des denrées coloniales, alors que dans le même temps, le coût des marchandises venues de France fait plus que doubler.
Avec des chiffres de vente sur le déclin, le marché de l’e-book semble vivre ses derniers instants de gloire. Aux États-Unis, les ventes de livres numériques ont en effet reculé de -24,9 % en janvier 2016, après avoir déjà chuté de 9,5 % en 2015. Si le livre numérique a connu un certain succès depuis le lancement de la Kindle d’Amazon, il semble que la croissance de ce marché ait atteint un palier. Selon les spécialistes, les ventes de tablettes multi usages comme les iPad ainsi que la « fatigue numérique » toucheraient les lecteurs, qui se désintéressent des écrans de manière générale et achètent moins de liseuses électroniques, donc moins de livres numériques. Pour les gros lecteurs, c’est-à-dire principalement les personnes de plus de 50 ans, l’e-book a la côte car ces consommateurs sont capables d’en stocker de grandes quantités sur un seul support. D’un autre côté, les livres papier traditionnels reprennent du poil de la bête. Alors, l’e-book est-il déjà condamné à l’obsolescence ?
La situation économique des Antilles Françaises est assez extraordinaire. Petites îles sous développées il y a quarante ans, ellesont subiun développement d'en haut.
La société martiniquaise reste jusqu’à l’heure actuelle marquée par une stratification « socio-raciale » singulière qui a été créée au début de l’époque esclavagiste. Cet article montre la complexité des relations symboliques conflictuelles fondées sur des constructions « socio-raciales » entre les différents groupes de la population martiniquaise.