...en particulier de ses marches où un certain jour de fin septembre 2011, au terme d'un scrutin sénatorial au cours duquel il avait été battu, des partisans d'un autre figurant également sur cette photo s'étaient munis d'un balai-zo et avaient ostensiblement balayé ses pas alors qu'il s'en allait la queue basse. Cela sous les huées et quolibets des militants trénelliens.
Une poignée d'élus (es) de la CTM s'est donnée en spectacle hier devant le Gouvernorat de la Martinique à Fort-de-France. Spectacle gratuit dans tous les sens du terme.
Ils sont partout, sur toutes les radios et télés, sur Whatsap et Twitter, sur Facebook et Instagram. Tels sont les descendants auto-proclamés de Socrate.
Sauf que ces philosophes médiatiques racontent n'importe quoi la plupart du temps et cela avec la complicité de journalistes souvent ignares.
Tout le monde connaît une "rhinite", un "sinusite" ou une "phlébite". Le suffixe "ite" est, en effet, utilisé pour indiquer une affection ou un mal lié à un organe du corps humain.
Ceci est un pastiche un peu potache. Mais c’est sérieux, de bon goût, délicat, avec parfois un peu de poésie, voire de tragique pour deux protagonistes (aisément identifiables). Donc ici, vous ne trouverez nulle trace de plaisanterie douteuse. Seuls de rares renvois épars feront digression, par une touche d’humour glacé et sophistiqué (dixit Gotlib(1)) pour détendre une lecture assez sombre du siècle nous séparant de 1917. Mais nul ne vous oblige à les lire.
Car la "ville-capitale" de la Martinique, comme aime à dire le PPM, ne peut tout de même pas demeurer défigurée avec son lot de statues fracassées. C'est pas joli-joli...
Nous ? Oui, les Martiniquais ! Et eux, les autres, c'est qui ? Eh ben, les autres, c'est justement les autres peuplades des territoires français d'Outre-monde.
Regardez la photo qui illustre cet article ! On est jeudi soir, tard dans la nuit, et les librairies françaises sont encore ouvertes au point que les gens s'y ruent.
Ce serait tout simplement risible si ce n'était pas grotesque. Mais, comme chacun sait, en Martinique, depuis quelque temps, le grotesque n'a plus de limites. Voyons voir ça !
Sé isenbot kolonialis fwansé a konpwann yo pé opozé nou mennen loto-nou épi balan nou lé. Enben, mi anvwala Neg fouté atè 4 rada éti sé mésié té paré mété asou lawout Lanmanten-Dikos.
On ne sait plus s'il faut rire ou pleurer dans cette île aux fleurs chlordéconées où jadis, selon le poète Daniel THALY, "l'air a des odeurs de sucre et de vanille".
A peine arrivée sur le tarmac de l'aéroport de Bamako, au Mali, l'ex-otage des islamistes, a fait une déclaration qui a dû plonger Zemmour, Finkielkraut et tutti quanti dans le désespoir.
Ti Sonson, quoique non titulaire du baccalauréat et donc non diplômé de l'université, a sans doute plus de jugeote que nombre de ses compatriotes "grangrek".