Créé en 2013 par l’Institut du monde arabe (IMA) et la Fondation Jean-Luc Lagardère, le Prix de la littérature arabe (doté de 10.000 €) est la seule récompense française distinguant la création littéraire arabe. Elle promeut l’œuvre d’un écrivain ressortissant de la Ligue arabe et auteur d’un ouvrage écrit ou traduit en français. Valoriser et diffuser en France la littérature arabe en plein temps fort de la rentrée littéraire, telle est la volonté des fondateurs de ce prix.
28 partis, groupes et institutions soudanais ont annoncé la formation d’un front de résistance populaire contre la normalisation des relations avec le régime sioniste, soulignant que la normalisation des relations avec Israël était un piège dans lequel le gouvernement de transition du Soudan a été pris par inadvertance ajoutant qu’une telle décision n’apportera rien d’autre que le pillage des ressources pour ce pays.
مع السلمية التي شهد عليها كل العالم، كانت السمة البارزة في الاحتجاجات أنها الأوسع نطاقاً جغرافياً، إذ لم تُرصد منطقة لم يخرج مواطنوها في التظاهرات، أو على الأقل عبروا عن رغبتهم في التغيير، ومثلت الطبقة الوسطى وفوق الوسطى القوى الفعلية لهذه الاحتجاجات.
Cette étudiante de 23 ans s’est fait connaître du monde entier, il y a un an, en montant sur une voiture pour entonner un chant hostile au régime dictatorial alors en place. Depuis, elle incarne les espoirs des femmes de son pays.
« Hemetti », l’homme derrière les massacres · Le Conseil militaire de transition a décidé d’en finir avec le mouvement populaire au Soudan. Plus connu sous le nom d’« Hemetti », le numéro 2 du pouvoir Mohamed Hamdan Dagolo est une pièce maîtresse de la répression. Au-delà de sa sulfureuse réputation de criminel, la trajectoire de cette « créature » du régime d’Omar Al-Bachir permet de comprendre la résistance de l’État profond aux changements.
Première soudanaise élue au parlement en 1965, Fatima Ahmed Ibrahim, féministe et communiste, a œuvré toute sa vie en faveur des droits des femmes et remporté de nombreuses victoires politiques. Elle s’est éteinte, le 12 août dernier, dans un silence lourd de sens.
Sudanese President Omar al-Bashir has slammed the US for its interventionist policies, which he says are responsible for “all the suffering” in the Arab world. Bashir made the remarks during an interview with the Russian broadcaster RT’s Arabic Channel on Sunday.
Dix huit mois après un raid meurtrier à Port-Soudan, Israël récidive en bombardant une usine militaire à Khartoum, faisant deux morts et des dégâts importants. Un acte d’agression qui étrangement n’a pas suscité des réactions de la part de capitales d’habitude promptes à réagir au quart de tour lorsque le Hamas fait éclater un pétard dans le ciel.