Le dimanche matin, dans l'émission "A ciel ouvert" de RCI, Antoine MAXIME a l'occasion de s'exprimer sur des sujets divers et variés, cela de façon intelligente et passionnée. Nous reproduisons ci-après l'une de ses interventions récentes à propos de la notion de "virus"...
Désormais aucun anthropologue, sociologue, psychologue et autre savant en "ogue" n'a besoin d'aller "faire des enquêtes de terrain" comme on disait avant l'Internet.
Le coronavirus focalise l’attention parce qu’il tue, bouleverse les habitudes, fragilise les convictions, met à mal le système économique, menace nos organismes, remet en cause les vérités établies. En effet, il s’agit bien d’un événement majeur qui génère de multiples interrogations mais entre autre, révèle le rôle salvateur de l’État-providence. Quant au confinement dont la durée est à la fois proche et lointaine, c’est probablement l’occasion de se libérer de l’emprise de la rentabilité à tout prix et des planifications souvent hasardeuses. En outre, le coronavirus en tant que révélateur primordial met en évidence l’augmentation de la consommation d’un surplus d’informations à la fois vraies et contradictoires, sans oublier les réseaux sociaux qui multiplient les sources de confidences et propagent des prophéties en tout genre.
Notre association Martinique Cuba n’a pas jugé bon, dans un premier temps, de répondre à un article de Monsieur Yves Léopold Monthieux, paru le 8 Avril 2020, qui invitait le public à revenir à l’année 1960, pour se replonger dans des débats d’arrière garde, dans une sombre ambiance de choses plus ou moins mesquines ou hargneuses, au regard de cette époque actuelle où nous avons tant besoin de lumière pour l’esprit, de solidarité pour l’individu et la société, ainsi que d’ espoir pour l’humanité. Nous avons dès lors considéré qu’il n’y avait aucun intérêt à revenir à ces polémiques tout à fait stériles, car de fait, elles sont aujourd’hui largement dépassées par toutes les avancées considérables, tant du point de vue des progrès de la pensée humaine, que des prouesses technologiques, qui caractérisent le monde d’aujourd’hui.
Bridgetown, 19 avril (Prensa Latina) Les organisations anti-impérialistes et pacifistes des Caraïbes ont rejeté l'ingérence américaine dans la région, face à la menace de la pandémie de Covid-19.
Depuis que le Covid-machin s'est répandu à travers le monde, ce ne sont que récriminations, indignations et autres jérémiades des auditeurs, téléspectateurs et facebookeurs.
Dans le contexte de crise sanitaire majeure que nous vivons actuellement, nous sommes tous amenés à nous questionner sur les choix que nous avons pu faire quant à notre mode vie. La réalité est venue magistralement éclairer les débats qui se menaient jusqu’alors à propos de l’efficience des systèmes économiques, des différentes conceptions du « développement » ou de l’importance de l’écologie. Chacun est désormais conscient que nous avons de nouvelles réponses à porter pour construire « l’autre monde possible ».
Las muertes que el Covid-19 está causando en la población negra pauperizada de Estados Unidos, Américas/Caribes, en África y otras partes de Occidente y Asia nos preocupan como hermanos.as y nos recuerdan que las voces que exigieron la reparación de los crímenes que cometieron los occidentales y tratantes de la esclavitud transatlántica durante tantos siglos chirrían en los oídos de aquellos.as que estuvieron en Durban en 2001;
Au moment où, dans le monde entier, la preuve est faite que les stratégies de domination impérialiste, avec leur logique de guerre et de destruction, ne sont que l’expression d’une conception désastreuse des relations entre les peuples, à l’heure où l’urgence mondiale est à la solidarité et à l’utilisation des technologies modernes au service des besoins fondamentaux de l’humanité, notamment en matière de santé et de lutte contre les épidémies, le président des Etats-Unis s’acharne à imposer au monde sa vision rétrograde, totalement à contre courant du progrès historique que doit réaliser l’humanité.
Les professionnels de santé d’outre-mer alertent sur le fait qu’en cas d’aggravation, ils ne pourront pas transférer les malades vers d’autres départements.
Une pandémie menace de décimer des centaines de milliers d’êtres humains : «Les entreprises » - entendez les capitalistes - recevront des milliards d’euros, tirés de la poche des contribuables pour assurer leur maintien à flot. Les institutions financières internationales mobilisent déjà les moyens de sauver le système. Ceux d’en bas, par contre, ont peu de chance de voir valablement compensés leurs revenus perdus.