Le communiqué, que l'on peut lire ci-après, témoigne de l'état d'esprit de certains personnels du campus de Schœlcher (heureusement pas tous, loin de là !).
Alors que la Vice-présidente du Pôle et les différents doyens multiplient les réunions pour mettre en place des mesures pouvant assurer un minimum de continuité des services, alors que des décisions sont démocratiquement prises lors desdites réunions et communiquées régulièrement à la communauté universitaire, voici que ce syndicat monte sur ses grands chevaux pour dénoncer un soi-disant mépris de la sécurité des travailleurs. DU GRAND N'IMPORTE QUOI !
Pendant les quatre ans qu'a duré l'Affaire du CEREGMIA, qui a, rappelons-le, privé l'Université d'une douzaine de millions d'euros, on n'a jamais entendu ce syndicat ouvrir la bouche une seule fois. Comme c'est étrange ! Mais bon, le Parquet National de Paris chargé de l'affaire nous en dira sans doute plus en septembre prochain, lorsque le coronavirus sera derrière nous...