Accueil
Aimé CESAIRE
Frantz FANON
Paulette NARDAL
René MENIL
Edouard GLISSANT
Suzanne CESAIRE
Jean BERNABE
Guy CABORT MASSON
Vincent PLACOLY
Derek WALCOTT
Price MARS
Jacques ROUMAIN
Guy TIROLIEN
Jacques-Stephen ALEXIS
Sonny RUPAIRE
Georges GRATIANT
Marie VIEUX-CHAUVET
Léon-Gontran DAMAS
Firmin ANTENOR
Edouard Jacques MAUNICK
Saint-John PERSE
Maximilien LAROCHE
Aude-Emmanuelle HOAREAU
Georges MAUVOIS
Marcel MANVILLE
Daniel HONORE
Alain ANSELIN
Jacques COURSIL

Education/Université : le rôle néfaste et souterrain de certains (es) influenceurs (euses)

Education/Université : le rôle néfaste et souterrain de certains (es) influenceurs (euses)

 Dans tous les pays du monde et cela quasiment tous les jours, il se produit des crimes, certains provoquant un hoquet d'horreur dans la population.

 Nul n'y peut rien car aucune société aussi "avancée" ou "civilisée" soit-elle n'a jamais réussi, à aucune époque, depuis quatre millénaires, à éradiquer le Mal : crimes, kidnappings, incendies volontaires, trafics de drogue, proxénétisme etc...Tout ce qu'il semble possible de faire c'est de le juguler avec des lois et des sanctions pénales pouvant aller jusqu'à la peine de mort dans certains pays.
  Mais, quand la loi se décidera-t-elle à demander des comptes aux incitateurs ou influenceurs, surtout quand ils et elles sont payé pour enseigner ? Ceux et celles qui par leurs discours ou écrits haineux poussent des esprits faibles à passer à l'action et à commettre des actes d'une monstruosité inouïe comme celui de cette jeune Martiniquaise (inscrite en doctorat sur le campus de Schoelcher) et de ses deux jeunes enfants sur lequel nous reviendrons dès que le verdict de l'assassin sera tombé. Mélange sordide de rastafarisme, de maraboutisme, de vaches d'Afrique égorgées, de sexe débridé etc. comme la presse, qui a suivi au jour le jour le procès, en a fait état. 
  Il y a, en effet, des lieux en Martinique où l'on est censé former la jeunesse et où certains "enseignants (es)" passent le plus clair de leur temps à développer des théories manichéennes et à les enfoncer dans le crâne de leurs élèves ou leurs étudiants. Cela se résume à ceci : tout ce qui est "Noir" est bon et bien ; tout ce qui est "Blanc" est mauvais et mal. Ces noiristes n'enseignent pourtant ni le wolof ni le swahili (et surtout pas le créole, quelle horreur !) mais des langues de ...Blancs, contradiction qui ne semble les déranger nullement. Ainsi ouvertement, à longueur d'année, ils et elles passent leur temps à chansonner à propos de Toutankhamon, des Khémites, du rastafarisme, des "cheveux grainés", du "peuple noir", du "Black Power", du rap ect., chose qui finit par polluer l'esprit de leurs élèves ou étudiants. Nous disons bien "polluer" car l'on peut parfaitement parler de toutes ces sujets de manière scientifique ou en tout cas rationnelle.
  Ces hypocrites d'influenceurs (euses) poussent dont notre jeunesse à déboulonner des statues ou à fréquenter des racailles parce que ces dernières portent, par exemple, des locks, tandis qu'eux-mêmes soignent tranquillement leur petite carrière de fonctionnaire de "l'Etat colonial français". Changement d'échelon, promotion, changement de grade etc., souvent grâce à de sombres magouilles, tout cela constitue l'une de leurs préoccupations fondamentales. Apparemment, ça ne semble pas non plus en contradiction avec ce qu'ils et elles appellent fièrement et en anglais (langue de...Blancs pourtant !), les postcolonial studies.  
 Ces personnes portent une lourde, très lourde, responsabilité dans les dérives actuelles qui frappent une partie de notre jeunesse urbaine ou "conurbaine" (vivant dans la conurbation Schoelcher/Fort-de-France/Lamentin). Car en dehors de ladite conurbation, dans le pays profond, le pays réel, où vivent les 2/3 des Martiniquais, on a évidemment d'autres préoccupations que "le monde noir". Des préoccupations beaucoup plus pressantes comme de trouver un travail  qui ne soit pas un simple "djob" ou un logement qui ne soit pas une caloge à lapins, de trouver un médecin pas trop loin de chez soi, de venir en aide à des parents devenus vieux, de résister à l'appel de l'émigration et de l'exil ou même de se détourner de la tentation de la délinquance (commerce de zeb, entre autres).
 Il est grand temps de démasquer ces influenceurs et influenceuses déguisés (es) en éducateurs et éducatrices des enfants du peuple...

Commentaires

michel mirgan | 14/09/2020 - 18:55 :
Des noms !!!! Des noms !!!!

Connexion utilisateur

CAPTCHA
Cette question sert à vérifier si vous êtes un visiteur humain afin d'éviter les soumissions automatisées spam.