Il est à noter qu’Ange MILIA, contacté à de multiples reprises, a -pendant plusieurs semaines- très aimablement, avancé des problèmes de santé pour renvoyer une rencontre destinée à l’interviewer sur les faits évoqués.
Il s’y est finalement refusé en arguant avoir « déjà suffisamment communiqué sur ces questions » ?! M. MILIA nous a tout de même, tout aussi gentiment, transmis les coordonnées de Patrick DEFFIT, responsable de l’agence Market One « chargée de la communication de MADIVIAL ». Là, nous nous sommes heurtés à un mur du refus. De surcroît, ce communicant -qui se veut muet- n’hésite pas à se faire menaçant : « si jamais des choses écrites mettaient en cause la responsabilité de MADIVIAL ». Allant jusqu’à assurer que nous ne serions pas à l’abri « de procès » ; soit ! Notre démarche n’avait d’autre objet que de permettre à MADIVIAL et à ses représentants de s’exprimer, en toute transparence, sur des faits, sinon troubles du moins troublants… Un communicant, abstinent d’information, estimant avoir déjà « suffisamment communiqué » ; un comble ! Quel risque prend-on à assainir un débat en y apportant des réponses claires, sur des faits précis, d’autant que la probité ne saurait en souffrir ?! D’aucuns n’auront pas compris que ce n’est pas parce qu’on refuse de parler à la presse qu’on musèle les journalistes… Il y a une nuance qui leur aura échappé : « couvrir une information » ne signifie pas mettre un couvercle sur un seau de merde pour en éviter les épanchements ! En démocratie, les fuites sont une vertu… G. F.