
Ce dimanche 26 juillet 2020, il a invité du monde à une conférence, rendez-vous à la Maison de la mangrove - Forêt Vatable au Trois-Ilets.
Point n’est besoin de présenter notre écrivain et universitaire de grande envergure, aussi un écologiste que nous connaissons tous ; mais plutôt son dernier ouvrage de 300 pages sur l’histoire du café qui débute en 1702 -originaire de l’Ethiopie- et de son rayonnement à partir de la Martinique dans le Nouveau Monde, grâce à de Clieu -un Français du XVIII siècle qui l’introduisit dans la colonie, au pays-. La conférence de CONFIANT est accompagnée de séquences de projections se tient dans un résumé illustré d’une photo en couverture et par écrit au dos de son livre –voir doc. joints-.
Il débute ainsi son roman : « J’ai fait un rêve d’Amérique – 1702 ».
Il y a ceux qui, en grand arroi de guerre, ont bravé la mer des Ténèbres, résistant aux calmes plats des Sargasses, défiant les alizés chamailleurs et, dans leur sillage, ces ouragans surgis tout droit des Enfers.
Il y a ceux qui, après avoir longé la côte des Barbaresques, ont eu a folle audace de ne point s’arrêter aux frontières du monde connu, le cap Bojador, poursuivant jusqu’aux pays des Nègres où, de la Guinée au royaume du Congo, ils érigèrent des fortins afin de brocanter en toute tranquillité des marchandises et pacotilles d’Europe, pierres précieuses et esclaves…
L’aventurier de Clieu, entre temps, découvrit le café qu’il transporta non sans tumultes en Martinique.
Le café est un produit en or pour les producteurs, les commerçants et les consommateurs.
Il n’y a pas longtemps, des Japonais sont venus ici à la recherche de café de qualité qu’on ne trouve que chez nous.
Il y a plusieurs variétés de café. Des cultivateurs locaux déjà à l’œuvre et des passionnés du café ont pu échanger des informations autour du sujet. Nou anmen ti kafé-nou an péyi-a.
Pour en savoir plus, se rendre en librairie, à la Librairie Antillaise par exemple.