"Mailicide", vous ne connaissez pas ? Il s'agit d'un supposément brillant néologisme inventé par certains non moins brillants cerveaux de l'Université des Antilles pour dénoncer l'utilisation de mails envoyés à toute la communauté universitaire et sur les adresses électroniques de l'établissement et visant à démolir tel ou tel collègue.
Ces mails tueurs ou "mailicides" indisposent aujourd'hui certains et certaines alors que pendant 3 ans et demi, les mafieux du CEREGMIA ont envoyé pas moins de 432 mails injurieux et diffamatoires, sur les adresses électroniques de l'établissement afin de démolir tout ceux et toutes celles qui les combattaient à commencer par la Présidente de l'Université de l'époque et le Doyen de la Faculté des Lettres et Sciences humaines de l'époque.
A l'époque, la pétasse qui vient maintenant pleurnicher sur les "mailicides" n'avait jamais ouvert sa bouche une seule fois !!! 432 mails et aucune réaction ni d'elle ni de tous les complices actifs et passifs du CEREGMIA. Comme on dit en saramaka : "So djol té fronmen kou bonda roun parsou-mouton".
En créole, on peut traduire par : "Ay fè an lous pété an nen'w, ti mafi !". Ou dans l'diome de MOLIERE et de Djamel DEBBOUZE : "Va t'acheter un gode et boucle la !".
N.B. Dans une université normale, jamais il n'aurait été possible aux gens du CEREGMIA de déverser leur fiel sur les adresses-mail de l'établissement pendant si longtemps, chose passible du Conseil de discipline partout ailleurs, sauf à l'Université des Antilles apparemment..