Jour après jour, l’armée d’invasion sioniste franchit un nouveau pas dans la barbarie. Après avoir bombardé des ministères, des hôpitaux, des écoles et l’Université de Gaza, voici que les vaillants combattants israéliens s’en prennent aux ambulances et aux équipes médicales chargées de porter secours aux blessés.
En effet, des hélicoptères Apache attaquent systématiquement tout véhicule frappé du sigle de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge, empêchant désormais les médecins de sortir des rares hôpitaux encore debout.
Il s’agit là d’une violation inouïe de tous les usages et de toutes les lois par temps de guerre. En fait, d’un crime contre l’humanité car ce que recherche l’état sioniste en réduisant à néant le corps médical palestinien, c’est de provoquer la mort des 3.500 blessés dont certains nécessitent des transfusions sanguines urgentes ou des amputations immédiates.
Non contents donc d’avoir déjà tué plus de 600 Palestiniens en une semaine, les sionistes veulent achever les blessés, cela, comme nous l’avons déjà dit et répété sur ce site, en toute impunité. Non seulement les puissances occidentales se montrent complices de ce qui n’est rien d’autre que le premier holocauste du XXIè siècle, non seulement les grands intellectuels euro-américains, donneurs de leçons et promoteurs des soi-disant droits de l’homme, se taisent, mais leurs négro-larbins du genre Rama Yade, secrétaire d’état aux Droits de l’Homme (ça ne concerne évidemment pas les Palestiniens qui ne sont pas des hommes comme chacun sait) ou Dominique Soppo, président de l’association-bidon S.O.S-Racisme, regardent soigneusement ailleurs, tout en dénonçant chaque fois que possible l’antisémitisme de X ou de Y.
En bombardant des ambulances, en tuant des médecins et des infirmiers, Israël viole l’une des règles les plus vieilles de l’humanité par temps de guerre : le respect des blessés.
Cela a un nom : BARBARIE.
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