Nous ne perdrons pas notre temps ni ne salirons notre site à révéler le nom de l'énergumène qui l'a prononcée, non pas en privé, non pas en off, mais au vu et au su de tout le monde. Sur les médias, s'il vous plaît ! Chacun a pu l'entendre et, hormis les affidés sans cervelle du bougre, chacun en a été choqué.
Choqué parce s'il suffisait de savoir utiliser un ordinateur pour diriger un pays, nul doute qu'il n'existerait plus un seul pays sous-développé sur cette planète. D'un simple clic de souris, tous les problèmes auraient été résolus ! On ne saurait trop que conseiller à cette personne de méditer cette phrase du grand Umberto Eco dont il n'a sans doute jamais entendu parler. Non, ce n'est pas un joueur de la Juventus de Turin mais l'un des plus grands intellectuels du siècle (italien de naissance) qui vient de s'achever :
"Les réseaux sociaux ont donné le droit à la parole à des légions d'imbéciles qui avant ne parlaient qu'au bar et ne causaient aucun tort à la collectivité. On les faisait taire tout de suite. Aujourd'hui ils ont le même droit à la parole qu'un Prix Nobel."
Cohorte qui est experte en maniement d'ordinateurs et de smartphones et dont l'intelligence brille chaque jour que le Bon Dieu fait sur Instagram, Facebook, Tik-Tok et consorts. Et bien sûr Twitter dont Donald Trump était le plus réputé utilisateur et expert !
Et puis, si nous voulions être méchant, nous pourrions poser la question suivante aux électrices et électeurs martiniquais :
"Peut-on donner à diriger un pays à quelqu'un qui n'a jamais eu d'autre profession de sa vie que politicien ?"
Lamentable !