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LA PSYCHANALYSE EST UNE ESCROQUERIE

LA PSYCHANALYSE EST UNE ESCROQUERIE

{{Soyons clairs !}}

Les psychanalystes pratiquent, ou laissent volontiers pratiquer, un amalgame qui les arrange. Ils annexent allègrement tout ce qui porte le préfixe "psy ". A la marche du siècle du 19 mars 1997, par exemple, on présentait un psychologue écoutant et portant conseil à des RMIstes désorientés, et une action de "guidance parentale " dans un service de prématurés, pour louer les mérites de la psychanalyse.

{{Quelle tromperie !}}

La psychanalyse est centrée sur l'exploration de l'inconscient et la résurgence des pulsions refoulées par les techniques de l'association libre. C'est cela et seulement cela qui est en cause !

{{Le phénomène psychanalytique}}

{{La psychanalyse est-elle une science ?}}

Les principales bases qui fondent la psychanalyse Freudienne sont l'existence d'un inconscient pathogénique et le déterminisme psychique de la sexualité enfantine. Sur ces bases, irréfutables par excellence, a été bâti tout un système rationalisé : le ça, le moi, le surmoi, les pulsions, les phases sexuelles de l'enfant (orale, anale, phallique), le complexe d'Oedipe, etc. Mais ce système, pour séduisant qu'il soit est sans intérêt si ses bases même n'ont pas reçu le plus petit commencement de preuve.

Or, pour Freud, "la science n'est pas une illusion, et ce serait une illusion de croire que nous puissions trouver ailleurs ce qu'elle ne peut pas nous donner", et c'est pourquoi il a insisté sur l'aspect scientifique de la psychanalyse. Qu'en est-il vraiment ?

Pour être une science, la première condition est épistémologique : il faut satisfaire au critère de réfutabilité. Celui-ci fut établi par Karl Popper en étudiant, justement, la psychanalyse avec Adler, lorsqu'il constata que celui-ci interprétait systématiquement les rêves qui lui étaient soumis dans un sens qui confortait sa fameuse théorie du "sentiment d'infériorité".

Exemple simple : si l'on dit "Dieu existe et il ne se montre pas aux mortels ", c'est irréfutable. Par contre lorsqu'on dit " tous les merles sont noirs ", la proposition est réfutable, puisqu'il suffit de trouver le fameux merle blanc. Encore, faudra-t-il vérifier qu'il s'agit bien d'un merle et que sa couleur est bien naturelle. " Tous les merles sont noirs " est donc une proposition scientifique, " Dieu existe " est une croyance.

La seconde condition est méthodologique. Toute science réalise un retour à l'expérience, pour valider la théorie, l'infirmer ou l'infléchir. Le principe de la mécanique classique, qui énonce la relation de la force à l'accélération, n'a pas été démontré "a priori", mais énoncé et considéré comme valide tant qu'il a permis de calculer le mouvement des mobiles terrestres, c'est à dire qu'il a été vérifié "par ses conséquences". La mécanique relativiste n'a pas infirmé ce principe, mais a précisé son "domaine de validité", en l'incluant dans un ensemble plus vaste. La mécanique quantique s'adresse, elle, au microscopique et les physiciens rêvent d'une "relativité quantique" qui unifierait ces deux domaines dans un ensemble cohérent.

C'est ainsi qu'avance la science : constatation (ou réflexion), déduction, expérimentation, à nouveau constatation et ainsi de suite. C'est ce cycle, jamais achevé, qui seul est constitutif de vérité.

Rien de tel pour la psychanalyse qui procède par étude de cas, refuse les statistiques, les études contrôlées, et procède régulièrement à un "retour aux sources" freudien par relecture des écritures sacrées.

D'ailleurs, Jacques Lacan lui-même disait : " la psychanalyse n’est pas une science, c’est une pratique". Ce qui ne l'empêchait d'ailleurs pas d'en rechercher la caution par l'emploi de concepts et de termes scientifiques, employés généralement à contre sens, comme l'ont si bien montré A.Sokal et J.Bricmont dans leur livre "Impostures intellectuelles"(1).

La validité thérapeutique de la psychanalyse justifie-t-elle, au moins, son principe ! (...)

[(Source)->http://www.pseudo-medecines.org]

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