Accueil
Aimé CESAIRE
Frantz FANON
Paulette NARDAL
René MENIL
Edouard GLISSANT
Suzanne CESAIRE
Jean BERNABE
Guy CABORT MASSON
Vincent PLACOLY
Derek WALCOTT
Price MARS
Jacques ROUMAIN
Guy TIROLIEN
Jacques-Stephen ALEXIS
Sonny RUPAIRE
Georges GRATIANT
Marie VIEUX-CHAUVET
Léon-Gontran DAMAS
Firmin ANTENOR
Edouard Jacques MAUNICK
Saint-John PERSE
Maximilien LAROCHE
Aude-Emmanuelle HOAREAU
Georges MAUVOIS
Marcel MANVILLE
Daniel HONORE
Alain ANSELIN
Jacques COURSIL

Le dinar algérien classé au patrimoine immatériel de l’UNESCO

Le dinar algérien classé au patrimoine immatériel de l’UNESCO

L’Algérie est sur le toit du monde ! Trois jours à peine après l’entrée du couscous au patrimoine culturel de l’UNESCO, une autre spécificité algérienne est enfin reconnue à sa juste valeur. En effet, le DZD, glisse à la dernière minute dans la liste des objets ayant besoin d’une protection ou d’une mise en valeur. C’est la première fois de l’histoire que l’UNESCO fait entrer une monnaie dans cette liste. Un choix plutôt logique.

Il faut sauver le dinar

Subissant une dégringolade vertigineuse depuis le dernier mandat de Bouteflika, le dinar algérien poursuit sous l’ère Tebbounne sa décente aux enfers. Selon certains spécialistes de la finance, le DZD se déprécie tellement qu’il devient encore moins chers que lui-même (1dinar n’égale même pas 1 dinar). En 2016, il a battu le record du monde de chute libre, et en cette fin d’année, il s’est hissé à la première place des objets sans valeur, loin devant les jetons de monopoly et les running de Boutef. Aujourd’hui, il n’est plus considéré comme une monnaie, mais plutôt un objet spirituel immatériel, un concept, une idée. “On n’a jamais pensé un jour à protéger une monnaie. Mais le dinar algérien ne se vend ni s’achète. Bientôt il disparaitra, voilà pourquoi il est urgent de le préserver” estime le porte-parole de l’UNESCO


 

Connexion utilisateur

CAPTCHA
Cette question sert à vérifier si vous êtes un visiteur humain afin d'éviter les soumissions automatisées spam.

Pages