...n'importe quel conard ou n'importe quelle conasse qui n'a jamais rien fait d'autre de sa vie que de toucher son salaire de petit fonctionnaire colonial (et de brailler contre le colonialisme les jours de déboulé syndical) peut se croire autorisé (e) à donner des leçons de verte manière, se haussant du col du haut de leur maigre savoir académico-franchouillard aux rares personnages qui tentent de nous sortir du désastre au bord duquel nous habitons, pour paraphraser un éminent poète local.
C'est le traitement que vient de subir le Dr Henry JOSEPH, ce pharmacien et spécialiste des plantes médicinales antillaises, qui, au lieu de se contenter de vendre dans son officine des médicaments venus d'En-Fwans, de rouler dans une grosse cylindrée et de faire du bateau le weekend comme certains "nationalistes" au verbe haut, a créé une entreprise de fabrication de remèdes antillais, Phytobokaz. L'un de ces derniers connaît depuis un grand succès : le Virapic, efficace notamment contre la grippe.
Quel crime le Dr Henry JOSEPH a-t-il commis pour se voir ainsi clouer au pilori ?
De s'être étonné sur les ondes qu'il y ait des milliers de gens dans des manifestations carnavalesques et si peu dans les champs (où il n'y a plus que des immigrés haïtiens d'ailleurs). Simple constat qui n'aurait pas du casser trois pattes à un canard (mais qui apparemment les casse à un conard ou une conasse). En tout cas,aucunement soulever pareille descente en flammes. Mais les donneurs de leçons négristes-nationalistes veillent au grain !
Pourtant, le Dr JOSEPH a mis en place un remarquable "régime caribéen" qui permettrait à certains (es) maigrichons (nes) du cerveau et obèses (de la panse) de se calmer un tout petit peu. De fermer leur grande gueule d'initil, pour parler clairement...
Commentaires