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ÉCHOLLECTIVITÉ D’OUTRE-MER DE SAINT-BARTHÉLEMY

LE « SERVICE PRESSE ET COMMUNICATION » PÊCHE EN LIGNE

LE « SERVICE PRESSE ET COMMUNICATION » PÊCHE EN LIGNE




Le Comité de Liaison et d'Application des Sources Historiques avait obtenu de la Collectivité de Saint-Barthélemy, par le biais du « chargé de la communication  par la toute première délibération de son conseil exécutif » , l'insertion dans la page " histoire " du site officiel de ladite collectivité, d'un lien vers son site internet de ressources pédagogiques dédié à l'histoire de Saint-Barthélemy et tout particulièrement axé sur la traite négrière, l'esclavage, leurs abolitions et répercussions dans cette île des Petites Antilles ; et d'un autre lien vers la page dédiée à Saint-Barthélemy sur le site internet consacré à l' Aménagement linguistique dans le monde , dont l'auteur est le linguiste et sociolinguiste québécois, Jacques Leclerc  : une page qui reste à parfaire, mais qui est sans doute à l'heure actuelle la plus juste présentation en ligne d'une "histoire générale de Saint-Barthélemy", sans comparaison avec la page dédiée sur le nouveau site officiel consacré au tourisme et ce malgré le coût élevé de ce tout nouveau site internet (49000 €) . Ces deux liens avaient alors été insérés sous une mention : «  pour en savoir plus sur l'histoire de Saint-Barthélemy...  »

 

Pour des raisons qui nous échappent encore, le « Service presse et communication » de la Collectivité de Saint-Barthélemy, qui est désormais assuré par «  le Cabinet du Président  », autrement dit : par le « Directeur de Cabinet du Président », autrement dit : par l'homonyme de l'ex-Chef de Cabinet de Mme Mégret à Vitrolles (2001-2002), ex-délégué départemental du MNR des Bouches-du-Rhône (élu le 9 décembre 2002, conférer Archives à Aix-en-Provence), a procédé fin 2008 à un petit toilettage en règle de ladite page "histoire" en supprimant purement et simplement ces deux liens qui y avaient été insérés… «  pour en savoir plus sur l'histoire de Saint-Barthélemy...  »

 

Le Comité de Liaison a toujours profondément regretté cette censure malencontreuse et particulièrement mal à droite, d'autant plus que cette page "histoire", intitulée non moins maladroitement «  De Christophe Colomb à nos jours  » est à des siècles lumières de tenir toutes les promesses que nous adresse si chaleureusement le Président Magras (à ne pas confondre avec Mégret du Canard - N°4555 ) en page d'accueil de son site internet : «  J'ai le plaisir de vous présenter le site officiel de la collectivité de Saint-Barthélemy. Conçu pour vous, il permettra de découvrir les aspects méconnus de notre île (…). Au gré de votre navigation, il vous sera proposé de découvrir notre collectivité à travers toutes ses richesses, qu'elles soient humaines, historiques, culturelles et patrimoniales.  »

 

C'est à force d'interventions du Comité de Liaison et d'Application des Sources Historiques que les inepties largement colportées sur l'histoire de Saint-Barthélemy se font de moins en moins nombreuses en ligne, et l'utilité de tels efforts n'est pas à démontrer ; en témoigne l'utilisation fort récente d'extraits du site internet consacré à l' Aménagement linguistique dans le monde dans le numéro d'octobre 2009 du magazine écollectivités, un magazine «  dédié à l'ACTION des collectivités territoriales dans le domaine de la protection de l'environnement et du développement durable  », «  diffusé en France métropolitaine et Outre-mer à 40 000 exemplaires, soit une audience de 100 000 lecteurs en moyenne  » et «  dont les lecteurs sont les Maires, les élus des Conseils Généraux et Régionaux, les DGS des inter communautés, et l'ensemble des adjoints délégués aux missions environnementales  » (source = http://www.ecollectivites.net/qui-sommes-nous.html ). Un article de deux pages qui fait part belle à l'histoire de Saint-Barthélemy, un article naturellement à l'initiative de la rédaction, si naturellement que la rédaction n'a pas trouvé utile de citer les référence du site utilisé, un site pourtant protégé par les droits d'auteur… un site régulièrement corrigé…

 

Le Comité de Liaison et d'Application des Sources Historiques souhaiterait en conséquence préciser à nos «  100 000 Maires, élus des Conseils Généraux et Régionaux, DGS des inter communautés, adjoints délégués aux missions environnementales  (source = http://www.ecollectivites.net/qui-sommes-nous.html ) » lecteurs du magazine écollectivités n° 11 octobre 2009, que jamais, probablement, les espagnols ne débarquèrent à Saint-Barthélemy ; que jamais, plus sûrement, des indiens Caraïbes n'y massacrèrent jusqu'au dernier des tout premiers colons français ; que, sans doute, ces tout premiers colons avaient aussi emmené avec eux des esclaves ; qu'en aucun cas, Saint-Barthélemy ne vit se constituer le "groupe fondateur" de l'île à partir d'une demi douzaine de familles pionnières arrivées entre 1681 et 1687 : les ancêtres de M. Magras, père fondateur s'il en est, et même à fonds d'horodateurs, étant arrivés dans les premières années du siècle suivant ! Et par dessus tout, que jamais au grand jamais, de ces premiers arrivants, serait issue toute la population actuelle de l'île, car alors : que faisons-nous de M. Beaupère ? Et d'ailleurs, que ferions-nous sans M. Beaupère ?

 

L'amiRAL du C.L.A.S.H


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