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NON A LA VIE ETERNELLE, VIVE LA MORT ! COVID-19, NOUS MAÎTRISONS NOTRE PEUR.

Frédéric CONSTANT
NON A LA VIE ETERNELLE, VIVE LA MORT !  COVID-19, NOUS MAÎTRISONS NOTRE PEUR.

Un spectre hante le monde. Le spectre du  covidisme. Toutes les puissances de la vieille Europe et d’ailleurs, grandes et petites, se sont unies (paraît-il) en une nouvelle Sainte-Alliance pour traquer ce spectre. Bergoglio et Poutine, Merkel et Macron, les extrême-centristes et policiers de France, partout on accuse plus ou moins les opposants et manifestants de favoriser l’avènement planétaire de ce spectre.

On ne parle que de cà. La mort rôde, partout, avec une arme nouvelle... Rire de la maladie, de la mort, ce n'est pas forcément rire de leurs victimes: malades, agonisants et autres Expérimentateurs de Mort Imminente... Nous vivons une période sinistre. Alors rigolons maintenant au dépens du mur auquel nous serons tous confrontés. A terme, nous sommes tous morts, sauf moi, of Dominique (on n’est pas dans la Méditerranée). Mourons en nous riant de la mort. Rire nous aide à vivre. Il nous apprend à vivre. Mourir en riant ou en souriant, c’est une question de savoir-vivre, surtout à l’égard de ceux qui resteront. On aura toute la mort pour pleurer. An ba la tè pa ni plézi. L’avenir dure longtemps, la mort encore plus.

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C'est l'histoire de trois cancers : un du côlon, un de la prostate, un du testicule, qui se déclarent presque simultanément chez une individualité stressée en permanence, et donc déjà en situation malsaine pour éviter un cancer, surtout au côlon (d’où ses convictions anticôlonialistes). On le verra, cette personne n’est pas choisie au hasard par nos trois petits rigolos. Ils avaient fait un concours: celui qui achève l’individu-cible serait l'heureux gagnant d'une immense promenade tout le long du Tropique du Cancer (mer, terre, golfes, déserts, montagnes, océans, fleuves). Ils avaient tous les trois beaucoup de conscience professionnelle, l’un d’eux irait donc Allah Mecque des cancers...

Cet individu, déjà stressé par nature sinon par vocation, le devient davantage encore en  apprenant son état. Sa tension augmente de façon fulgurante! Les trois cancers s'amusent bien, le jeu en vaut la chandelle (à mettre où vous voulez). Ils sont d’autant plus stimulés que leur proie est un des cancérologues les plus réputés : le Dr Alex Capricorne, ennemi numéro 1 des cancers: théoricien et praticien de la destruction du foyer cancéreux (spécialiste des tactiques anti-guerillas, notamment el foco), chirurgien, etc. Une sodomité Mehdi-têtecale, comme aurait dit Ben Barka.

Nos trois amis font un challenge très amusant. D'autant que Capricorne est transexuel(1 ) donc pourrait attraper aussi des saletés à l'utérus, aux seins, aux ovaires(2). Pas question de laisser gagner ces enfoirés d'organes. Séparons les sexes et les malades seront bien crevés. Vive les brevets longs! La lutte des cancers s'engage dans la joie et la bonne humeur. Aucun ne se fait de mauvais sang: nulle leucémie à l'horizon pour faire une concurrence libre et non faussée à la Giscal-Desse-Couilles-de-mes-Deux-Staings.

Hélas la lutte devient binaire. Car - nom d'une tumeur!- le cancer de la prostate est décelé à temps, et il est extrait. Les métastases sont tuées dans l'oeuf faute d'avoir été viables, ces débiles, ces mòlpi sans énergie. Comme on dit à Kronstadt, l'Alex l'ex pro ne se tâte plus la prostate qui pestait le pus (car en plus avait attrapé un abcès, ce crétin). Par des rayons, lui le subversif anticancéreux va faire de la répression ? Un subversif devenant répressif une fois au pouvoir, çà s’est déjà vu. En tout cas, lui le cycliste essaie de cesser de perdre les pédales.

Ces jeux de mots subtils ne font même pas sourire les cancers survivants: leur jeu à trois devient un duel, ce n'est plus drôle. Chacun sait qu'il peut être neutralisé par l'ablation de l'organe atteint, et que seul un petit nouveau au pancréas peut sauver l'honneur! Alors vite, un néo à cet endroit, juste pour jouer (au pancrace? Oui, c’est idiot)! Un néo! Un adéno! Leur demande au Saint-Crabe n’aboutit pas.

En face, c'est la mobilisation générale: le seul bon cancer est un cancer mort. Qui peut le plus peut le moins et inversement qui pleut la puce pneut la roue... Donc, pour voir s’il n’y a pas un petit cancer qui traîne, tout l'organisme de Capricorne est passé au peigne fin dans les deux hémisphères: pancréas, cerveau, bras droit, fesse droite, jauni-bi-gode, couille gauche et inversement, rate, wòy-ovaire-bite-au-vent, hue-t’es-russe, jambe (et échec et pat!), reins, foie, vessie, lanterne, systèmes cardiovasculaire, nerveux, ventilatoire, pétogène, rotatoire, etc.

Capricorne se fait quand même du mouron : deux cancers avérés çà fait quand même beaucoup. Sa tension monte encore. On fait appel à l'ONU qui comme da bite Hude essaie de tout mettre à nu et vote une N-ième résolution non contraignante contre Israël et les cancers... Bref, Capricorne est fait cocu à Capri (Corne), et ce n'est pas fini, et vastole-cystole battent gaiement des records à la hausse, ils tendent vers l'AVC. Des néos colonisent et testiculent en escadrille et en continu (ce n’est pas contradictoire), se relayant pour être plus efficaces dans la recherche du maillon faible de la chaîne-de-l’organisme, comme diraient Vladimir et Léon, maillon faible qu'ils trouvent enfin (les néos, pas Vladimir et Léon : hé ho ! faut suivre !). Leur idée, c'est d'amener Alex à être toujours plus stressé, à l'amener à toujours plus somatiser, et ressentir des douleurs suspectes «sans cause organique», à faire gonfler ses testicules, provoquer des dysménorrées secondaires via une belle adénomyose utérine inexpliquée, puis lui imposer une grossesse nerveuse (ou couvade fantasmatique), gêner ses défécations, bref, foutre un beau bordel ! Ce faisant, Capricorne sera de plus en plus épouvanté, sa tension montera toujours plus, débouchant sur un AVC voire un AWC, soit l'AVC haut-de-gamme (ki sa ankò a ?! Il y a bien la TWA avec la TVA, et les deux n'ont rien à voir... Fè moun chié !).

Oui, voilà un bon plan. Ainsi, Capricorne, si on n'a pas sa peau directement on l'aura par procuration, puisqu'il fera un AVC qui l'achèvera, enfin espérons... Quoi que, man ! ce serait rigolo de le voir à l'état de légume, lui, l'ex grosse tête militante anticancer. Il ne saura dire que «G-a-a-a...», lippe et langue pendante, bave et morve coulantes, yeux globuleux, fauteuil roulant, faisant sous lui. Et sur lui : il n’est pas sectaire, il apprécie autant les «Positions» d’Althusser que celle du Kama Sutra.. Le moment venu, notre propagande conquérante pourra s'enrichir d'une nouvelle formule-choc: «La cancérologie mène à tout, même à la légumitude! Alors rendez-vous sans résister». Oui mais...

Ce que ces démons pansus n'avaient pas envisagé, c'était que la tension pouvait finir par endommager l'appareil cardio-vasculaire sans produire d'AVC... Et un beau jour, Capricorne est terrassé (comme on dit!) par un infarctus. Il s'en remet, mais pour lutter contre le stress il doit prendre des benzodiazépines, qui à la longue s'attaquent à sa pine et à sa mémoire. De fil en aiguille ses proches comprennent que Capricorne s'achemine vers Alzheimer, contre lequel il sera impuissant. Surtout si le coco attaqué. Il ne pourra même pas lire Anouilh, pourtant conseillé quand on a le lolo en nouille....

Pendant ses périodes de lucidité, de plus en plus courtes, Capricorne est très détendu, plus qu'il ne le fut jamais. Ses ex confrères continuent de le fournir en benzotrucmuches. Et bientôt il n'a plus du tout de période de lucidité, ni de capacité d'échanger. Un légume! Ga-a....

Les deux cancers survivants font une fête du tonnerre du Dieu Crabe ! Ils ont tort. D'abord parce que cette victoire n’est pas la leur, mais celle de l’infarctus, et Capricorne n'agonisera pas dans les atroces souffrances qu'ils avaient escomptées. Ensuite parce que deux concurrents apparurent: les cancers du sein et de l'utérus, qui arrivèrent quand la bataille fut finie faute de cons battants. Carabiniers d’Offenbach, vous êtes là ?... 

Bien sûr, les deux crétins fêtards réagirent bêtement, en hurlant  « Insuffisant! Chiqué! Où est l’arbitre ? ». Dans leur esprit, il fallait du solide, du cancer-dont-on-ne-guérit-pas. C'est pourquoi ils demandèrent aux Dieux du Crabe une reconversion pour investir dans le pancréas (précédemment ils n’avaient rien obtenu à cet endroit)... Le pancréas? Une valeur sûre pour les cancers qui savent ce que veut dire «Vivre selon son idéal».

L’ennui, c’est que depuis des décennies la science parvient de proche en poche à venir à bout, ou empêcher le déchenchement de toutes sortes de maladies, à les freiner dès lors qu’elles sont détectées (regardez les anti-rétroviraux). Cela, à terme, c’est embêtant pour les entreprises de pompes funèbres et incinérariums. Oui, car, au moins dans les pays industrialisés et pour les gens qui peuvent payer(3), la mort recule avec «l’allongement de la durée de la vie» (n’y aurait-il pas là une sorte de tautologie ?). Saloperie de «Sécurité Sociale» ! En France, vu cette perspective, ces honorables et humanistes corporations eurent même le projet de détruire les statues d’Ambroise Croizat(4), tout comme Denis Kessler formula un jour le vœu de détricoter les conquêtes sociales françaises obtenue à la Libération(5).

Certains, dans ce drôle de monde, envisagent ainsi le moment, en tout cas le projet que l’humanité rende éternel l’individu humain, et assassine la mort. Landjèt sa pito!(6)

 

Vous allez comprendre pourquoi ce serait une catastrophe ! L'homme perdrait l'angoisse de la mort, le besoin fantasmatique de ressusciter, le besoin de croire en Dieu. Jésus crie, enfoncé, ses collègues idem. Quant aux divinités des cosmovisions polythéistes, pa menm palé ! Non mais... Complètement has been, tout çà...

Tout serait donc chamboulé, démographiquement, philosophiquement, et tout et tout. Parce qu’il n’y aurait pas que ces pertes, comme disent parfois les Ecossais et les ouest-Australiens. Imaginez donc !  Car la peur de mourir disparaîtrait-elle ? Oui, mais ne serait-t-elle pas remplacée par quelque chose de pire?

Car si l'homme ne meurt plus, vivra-t-il en bonne santé? Cela vaudra -t-il la peine de vivre si c'est, au-delà d'un certain âge, pour être tout le temps malade, souffrir? Vivre en souffrant de maladies diverses, ce serait une agonie interminable, au sens propre, et qui irait toujours crescendo. Mourir dans d'atroces souffrances, c'est épouvantable, certes, mais c'est aussi une délivrance (je vous le concède, cher ami, c’est mieux de mourir sans souffrir, dans son sommeil par exemple). Vivre dans des souffrances sans fin, ce serait encore plus horrible! Et l'euthanasie? Et la revendication du droit à mourir dans la dignité? Ce ne sont que les parties visibles du volcan de la souffrance. Donc il FAUT mourir (ne serait-ce que pour laisser place à des idées neuves, aux innovations). En plus -horreur- , à terme on ne se souviendrait même plus de nos parents, qui nous ont quand même donné la vie (non, c’est pas Dieu, merde ! Jésus, Mahomet et les autres : couchés !) et donc la mort...

 

Alors que faire? Il conviendra de revendiquer pour reconquérir le droit à la mort !

Oui, la mort devrait revenir. L'homme devrait cesser de vouloir égaler le créateur (si tant est qu’il existe, d’ailleurs je ne mets pas la majuscule), amen! «Faucheuse, reviens!», implorerait l’humanité. « On t'aimait bien, même si on voulait t'éliminer! On plaisantait, arrête de bouder!». Certains, taxés de malthusianisme, avaient mis beaucoup d’espoir dans le SIDA et autres saloperies : il suffisait d’avoir quelques comportements border line et hop ! par ici la sortie... Mais même cela çà ne marche plus.

Et si cette mijaurée de Faucheuse n’accède pas à cette légitime revendication, il faudra l’implorer comme une Déesse ou un Dieu-Hydre-multicéphale (7) (les guédés, et Papa Legba, qu’il faudrait invoquer tous les jours et pas seulement le  «samedi» : ce ne seraient pas de vulgaires mortels qui viendraient faire la loa, non) : «Viens nous débarrasser de l'éternité. Nous voulons redevenir des visiteurs de passage dans l'existence. Ha ! garce de mes gonades(8)  : tu nous rends malheureux. Tu n’as pas voulu répondre à nos demandes... Que nous sommes malheureux sans toi. Finies les veillées. Début novembre, plus aucune festivité... »

 

Mais soudain apparait un virus tueur mal cerné, contre lequel les Gouvernements de la planète n’étaient pas préparés. Le recours aux forces haïtiennes serait-il encore nécessaire ? Le Covid-19, qui changea de genre pour devenir LA Covid-19. Et là, la mort dut commencer à revoir s’ouvrir devant elle un avenir malheureux, car condamnée à travailler (ou «radieux», selon certains), et ce à l’insu de son plein gré. Heureuse, l’humanité put recommencer à vivre normalement, enfin à peu près... Et à mourir massivement, çà, cela redevenait envisageable. Surtout avec certains gouvernements qui gérèrent la pandémie comme ils auraient géré une armoire à balais : n’importe comment de préférence, en profitant de la situation pour renforcer leurs arsenaux répressifs... Et puis les laboratoires pharmaceutiques privés et leurs «chers» actionnaires purent commencer à spéculer sur un marché particulièrement juteux et très extensible, vu le besoin planétaire de faire des stocks et l’apparition de «variants» du virus (parler de «mutants» aurait fait encore plus peur). C’étaient une des joies du capitalisme : spéculer à fond sur les angoisses existentielles de l’humain.

Heureusement, le/la COVID-19 a répondu à nos prières, hein, la faucheuse. Lâcheuse! Ça t’apprendra à faire grève ! Et n’oublie pas, hein : si tu recommences à faire l’imbécile, on te fera la peau pour que tu reviennes, morte ou vive ! Pour cela je me battrai jusqu’au dernier !

Vive la mort, pour l'éternité!

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RENVOIS.

(1) Blague dans le coin, ce serait civilisé que, dans la vie réelle, on cesse de se moquer ou de marginaliser les gens qui ne sont pas dans les «clous» du conformisme sexuel ou de genres, dans la «norme» de la stricte séparation des genres. Qu’on arrête de les emmerder, d’ironiser à leur propos, de les harceler sous couvert de plaisanteries récurrentes. Bref ! qu’on laisse les gens vivre comme ils l’entendent, comme ils le veulent, comme ils le sentent. Donc qu’on fiche la paix aux LGBTI !      

(2) Il n’était ni martiniquais ni guadeloupéen, donc pas intoxiqué au chlordécone. Terrain plutôt tranquille côté cancer. En tout cas moins prédisposé...

(3)Quoi, les pauvres ne peuvent pas se soigner ? Et dans les pays du Sud des millions de gens  meurent encore de faim et de maladie ? Et alors, qu’est-ce que tu veux que çà me f...? Tous ces pauvres n’avaient qu’à ne pas être pauvres, il suffisait de naître riches. Comment çà, je suis un capitaliste cynique et abject ? Dis donc, toi, si tu as envie de parler trop fort tu veux que je demande à mes copains de l’Elysée d’envoyer un micro missile balistique sur ta famille ? (Attention, ce cynisme abject existe vraiment: Coronavirus : Les guignols de l'info étaient-ils des devins ? 11/10/2015 | Ordissinaute ).

(4) En France, Ambroise CROIZAT (1901-1951) fut Ministre PCF du Travail de novembre 1945 à mai 1947. C’est lui qui impulsa la mise en place du régime général de la sécurité sociale. C’est une des conquêtes sociales que le MEDEF (cf déclarations de Denis Kessler) et quasiment tous les gouvernements français depuis 1983 s’attaquent à démolir sous divers prétextes.

(5) authentique : Denis Kessler : "Il s'agit de défaire méthodiquement le programme du CNR" | Le Club de Mediapart

(6)La languette de çà plutôt ! (Donald, on a déjà donné avec Trump.)

(7) Même mentalement (si on n’est pas croyant, quoi !), c’est dur de se défaire du principe monothéiste.

(8) Oui, parce que si on dit «Garce de mes couilles!», certaines hurleront au machisme. Si c’est «Garce de mes ovaires», d’autres et parfois les mêmes diront : c’est dégoûtant et méprisant de parler ainsi des organes génitaux féminins, et gnagnagna... Fè moun chié. Alors que «Garce de mes gonades!», c’est neutre, «dégenré». Il y aura toujours des gens pour dire «Espèce d’obsédé sexuel : vous êtes obligé de parler d’organes génitaux ?» . Réponse : «Oui, rien que pour le plaisir de vous emmerder, vous faire bavasser piw piw piw on lo pawòl kip pa ka fini... Pendant ce temps-là je vous pète dessus et vous n’entendez rien... Vous préférez les obsédés coloniaux (de Gaulle-Dijoud-Pons-Foccart), capitalistes (genre Kessler-Macron), racial (genre Gobineau-Hitler-Le Pen), du plafond fiscal (à la CGI), du bricolage (Leroy Merlin), de la décote-pour-la-retraite (à la Fillon), du coing (à mettre au milieu de la table), du cyprès (à voir de si loin)... Vous voyez ? c’est déjà moins vivant. Alors que le sexe c’est la vie et tout le monde comprend.». Restera «Garce», substantif féminin. Qu’eût-on alors entendu si «garce» avait été remplacé par «salope» ?

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