Parmi les nombreuses causes du naufrage de l'Education nationale, il en est une qui revient souvent : sa prise en otage permanente par une caste bureaucratique, qui s'entiche certes régulièrement de « nouveautés » mais reste définitivement rétive à toute réforme de fond.
Une enseignante de l'ESPE-Guyane expose ci-après les raisons qui l'ont poussée, elle et trois autres de ses collègues, a demander l'annulation de la séance du 02 avril visant à compléter le conseil de cet établissement devenu "école interne" de l'Université depuis peu...
Complément d'information à propos de cette affaire et une position commune des élus du conseil d'école de l'ESPE Guyane (ex IUFM) qui ont décidé de ne pas prendre part aux travaux du Conseil du 12 avril 2014.
La désignation controversée du Conseil d'École de l'ESPÉ (Ecole Supérieure du Professorat et de l'Éducation), a généré le dépôt de deux requêtes contre le Recteur de la Guyane.
Roger Narfez, Henri-Pierre Deliou, Claude Gourg, Christophe Roos
Vendredi, 11 Avril, 2014 - 03:12
Voilà le courrier que les signataires ont demandé à Madame la Présidente de l'UAG de transmettre à Monsieur le Premier Ministre à propos du démantèlement de l'Université Antilles Guyane.
Journaliste à GUADELOUPE 1è et chargée de cours en littérature sur le pôle Guadeloupe de l'Université des Antilles, Catherine LEPELLETIER, d'origine guyanaise, vient de publier aux éditions IBIS ROUGE un livre intitulé "Littérature et société, la Guyane"
Exclusivité Guyaweb : Guyaweb s’est procuré la note de l’inspectrice générale de l’Administration, de l’Education nationale et de la Recherche (IGAENR) Françoise Boutet-Waïss. Ce rapport même s’il s’appuie sur une mission relativement brève effectuée au cours du conflit ( trois jours en Guyane, du 21 au 23 octobre derniers) paraît exonérer de tout manquement, Jean-Marie Fotsing et René Dorville, les deux anciens responsables respectifs du pôle universitaire guyanais (PUG) et de l’IESG (Institut d’enseignement supérieur de la Guyane).
Après René Dorville en fin de semaine dernière, c’est au tour de Jean-Marie Fotsing, le vice-président du Pôle universitaire guyanais de faire part de son profond malaise et de son entier désaccord envers les dispositions prises par la ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche, Geneviève Fioraso. A l’instar de René Dorville, le n°1 en Guyane du pôle universitaire, s’estime, à sa manière, injustement sacrifié sur l’autel d’un hypothétique retour à la paix sociale. Jean-Marie Fotsing a été élu à la tête du pôle Guyane le 21 mars dernier…
« Si un chaînon imperceptible lie l’homme aux animaux, le nègre forme l’un de ceux où furent placés Voltaire et Descartes, mais à coup sûr c’est le dernier » (Durefort de Ferrière 1839).
Bien avant que n’éclate l’affaire de son mail privé rendu public, Raphaël Confiant, avait, le 11 octobre 2013, adressé le mail ci-après au président du CCEE de la Martinique. L’écrivain martiniquais est, en effet, membre de ce conseil consultatif au Conseil Régional de la Martinique au sein duquel il représente les associations écologiques.
Depuis le 14 octobre 2012, au moins douze ressortissants haïtiens ont été placés au centre de rétention administrative en vue de leur expulsion vers Haïti.
Parmi eux, un Haïtien dont la naissance de son enfant français est prévue début décembre, un homme de 50 ans vivant en Guyane depuis 1998 auprès de sa sœur de nationalité française et n’ayant plus d’attache en Haïti ou encore un jeune homme ayant déposé le matin même une demande d’asile à la Préfecture de Guyane.
Le livre de M. Jules Linguet Imbattables Créoles, dont on a jusqu’ici parlé dans les milieux “intellectuels”, sort de ce cercle assez restreint pour aborder le milieu politique. Le livre figure en effet dans la liste des livres recommandés par le site internet du MDES, et par ailleurs ROT KOZÉ, le magazine du parti, lui ouvre ses colonnes. Dans son n° 137, le journal publie un article assez long de M. Linguet lui-même, qui défend son livre contre des critiques “qui relèvent pour la plupart d’un type d’immigration bien particulière” - c’est à dire venant de Blancs.
Alain Michel (Président de l'Association des Communes Minières de Guyane)
Mercredi, 4 Septembre, 2013 - 02:51
Les tirs à boulets rouges sur la Société REXMA et l'acharnement médiatique dont elle est l'objet depuis des mois, renforcent l'idée qu'il existe bien une volonté affirmée et orchestrée de mise sous cloche de la Guyane.
A l'aube du XXI ème siècle aux portes de l'un des derniers vestiges européens de la présence anachronique du Colonialisme en Amérique du Sud va se tenir la réunion des chefs d'Etats de l'UNASUR le vendredi 30 août 2013.
Le développement de la Guyane n'est pas affaire d'opportunité mais de stratégie ou projet d'ensemble visant à promouvoir le rôle fondamental des décideurs du peuple guyanais dans son devenir.
Voilà le lien qui mène à la déclaration du président de la CCIG (Chambre de Commerce et d'Industrie de la Guyane) M. J. P. Le Pelletier qui dit qu'il a fait tout ce qui était en son pouvoir pour dresser le drapeau Guyanais partout en Guyane.
Le Komité Drapo (KD) appelle tous les Guyanais et amis de la Guyane, à pétitionner, Pour une visibilité légitime du Drapeau Guyanais étendue aux Assemblées majeures, aux Chambres consulaires (CCIG, aéroport Félix Eboué) et à tout le pays.