Au cours de sa carrière, le télescope spatial Hubble a pris des milliers, voire des millions de clichés. Mais tous ne sont pas aussi réussis que la magnifique photo de NGC 2275 que vient de mettre en avant la NASA.
Au cours de récentes observations à l’aide du radiotélescope australien ASKAP, des astrophysiciens ont observé de curieuses structures radio dans l’espace. En forme de cercle, certaines de ces structures abritent des galaxies et d’autres non. Dans tous les cas, les chercheurs ne connaissent encore ni la nature, ni le processus de formation de ces cercles radio, bien que des hypothèses aient déjà été avancées.
Une étude de 2012, publiée dans la revue scientifique Personality and Individual Differences, avait révélé que la taille moyenne du pénis en érection d’un Haïtien est de 16,02 cm.
Le parcours et la personnalité de Robert Oppenheimer, l'homme qui a permis Hiroshima, sont retracés dans deux romans : "Trinity", de l'Américaine Louisa Hall, et "Oppenheimer", du Canadien Aaron Tucker.
La Lune n'est peut-être pas notre seul satellite. Après plus de 50 ans de spéculations et de controverses, des astronomes et physiciens hongrois ont annoncé avoir finalement confirmé l'existence de deux « lunes » en orbite autour de la Terre et entièrement constituées de poussière.
L’Afrique apporte sa pierre à la science (6). Le chercheur de l’université de Koudougou travaille sur un projet de satellite destiné à mesurer les effets du changement climatique.
Les physiciens ont réussi à maintenir un condensat de Bose-Einstein pendant plus d'une seconde sur la Station spatiale internationale. Voici pourquoi c'est un accomplissement scientifique et technologique.
Un equipo de científicos de la NASA realizó un experimento en la Estación Espacial Internacional y logró observar por primera vez en el espacio el quinto estado de la materia. La investigación podría ayudar a comprender el funcionamiento interno de la naturaleza, así como también habilita la posibilidad de realizar diferentes estudios futuros.
L'étude du FRB 121102, découvert en 2012, nous en apprend un peu plus sur les "sursauts radio rapides", des signaux magnétiques spatiaux dont les origines demeurent inconnues à ce jour.
Le spatial fascine. Les fusées font rêver. Les navettes émerveillent. Mais ce rêve contribue aujourd’hui à alimenter un peu du cauchemar à venir. Il est légitime de l’interroger. Curieusement pourtant, questionner le bienfondé du « spatial » choque, ulcère, scandalise. Comment si le cœur dur du génie humain s’était ici – et nulle part ailleurs – logé. Peut-être est-il pourtant nécessaire de dépasser ou de renverser ce mythe. Sans la moindre velléité nihiliste ou provocation aigrie, il ne s’agirait que de ré-enchanter un autre rapport à l’espace.
Omniprésents dans le vivant, tous les virus ne déclenchent pas une pandémie. Pour l'écologue Franck Courchamp, l'humain favorise lui-même ce genre de catastrophe en appauvrissant les ressources et en dégradant la biodiversité dont les parasites font partie intégrante.
Les astronomes de l’Observatoire européen austral (ESO) ont découvert un nouveau trou noir, le plus proche de la Terre jamais détecté, situé dans un système stellaire visible à l’œil nu. Il se trouve à « seulement » 1.000 années-lumière de notre planète, selon une étude publiée ce mercredi dans la revue Astronomy & Astrophysics.
La Martinique est comme le reste du monde touchée par la crise du Coronavirus et ses habitants sont confinés depuis le 17 mars 2020, à l’image de tous nos concitoyens.
D'abord ce très ancien mot que presque plus personne ne connaît de nos jours : "Lapotitjè" qui vient du français "apothicaire" désignant autrefois les pharmaciens à la Martinique que dans les années 1930.
Le docteur Damien Barraud, médecin réanimateur en unité Covid au CHR de Metz-Thionville, explique pourquoi selon lui les annonces du professeur Raoult ralentissent la lutte contre le coronavirus en ajoutant de la confusion et un battage médiatique autour d'une figure qualifiée désormais de populiste par de nombreux scientifiques.
Une photo qui en dit long. En visite à l’Institut hospitalo-universitaire (IHU) Méditerranée infection à Marseille du désormais célèbre Pr Raoult, Emmanuel Macron a pris la pose avec plusieurs jeunes chercheurs de l’établissement juste après leur avoir demandé d’où ils venaient. Mali, Burkina Faso, Algérie, Maroc, Tunisie, Liban : au total, pas moins d’une dizaine de pays dits en développement sont représentés au sein de l’équipe de l’institut.