Le dernier hebdo Antilla (n° 1834 du 30 août 2018) publie un article intitulé « Christian Louis-Joseph(CLJ) répond à Michel Branchi » et indique que « cette réponse fait suite au « papier » de Michel Branchi paru dans Antilla n° 1830 ».
La campagne sur le thème de « La Martinique à l’arrêt »- bien sûr à cause de la CTM- a du mal à se renouveler malgré un certain nombre de démentis apportés par les faits.
Par exemple : « Fort rebond de la création d’entreprises au 4ème trimestre 2017 » selon l’Insee (Justice n° 15 du 12 avril 2018), « Petit répit du chômage au 1er trimestre 2018 » selon Pôle emploi (Justice n° 19 du 10 mai 2018), et enfin « En 2017, l’économie martiniquaise reste positivement orientée… » d’après l’Iedom (Justice n° 20 et 21 des 17 et 24/05/2018).
En chœur, Martinique 1ère (Maurice Violton) et RCI (Jean-Marc Pulvar), ce vendredi 4 mai au matin annoncent que la Martinique est la « dernière de la classe » en matière de taux de programmation des fonds européens d’après un « document » qu’ils se seraient procuré : La Réunion : 40, 9 % ; Guadeloupe : 35,9 % ; Guyane : 39,1 % ; Mayotte 43,4 % ; Martinique : 29,4 % ; Ensemble RUP : 37,2 % ;
Sur le site de Martinique la 1ère on peut lire le 20/04/2018 notamment ce compte-rendu :
« Mercredi dernier (18 avril 2018), dans les locaux de l'ex Conseil Général à Fort-de-France, des élus, des cadres territoriaux, des représentants de l'État, des cadres des institutions financières et des chefs d'entreprises étaient invités à échanger autour du thème : quelle dynamique économique pour la valorisation du patrimoine ?
Beaucoup de nos concitoyens ne savent pas ce que c’est que la « Cour des Comptes ». Pourtant ils devraient s’en inquiéter.
Car beaucoup de prétendues réformes appliquées par les gouvernements de droite et socialistes et visant à instaurer l’austérité en matière sociale, économique et budgétaire ont été concoctées par cette Institution chargée en principe de veiller à la régularité des comptes publics. Cependant depuis dix ans elle dépasse régulièrement les limites de ses prérogatives financières pour imposer des potions néo-libérales en matière politiqué.
Or le 11 octobre dernier ce vénérable aéropage a publié un véritable brûlot contre les collectivités d’outre-mer.