En ce mois d'octobre dédié un peu partout à travers le monde à la langue créole et pas seulement dans les pays créolophones, nous présenterons chaque jour un écrivain ou d'un créoliste.
En ce mois d'octobre dédié un peu partout à travers le monde à la langue créole et pas seulement dans les pays créolophones, nous présenterons chaque jour un écrivain.
En ce mois d'octobre dédié un peu partout à travers le monde à la langue créole et pas seulement dans les pays créolophones, nous présenterons chaque jour un écrivain.
En ce mois d'octobre dédié un peu partout à travers le monde à la langue créole et pas seulement dans les pays créolophones, nous présenterons chaque jour un écrivain.
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En ce mois d'octobre dédié un peu partout à travers le monde à la langue créole et pas seulement dans les pays créolophones, nous présenterons chaque jour un écrivain.
Pour Jean-Luc Bonniol, professeur émérite d’anthropologie à l’université d’Aix-Marseille, réintroduire des assignations des individus à leur couleur, leur interdire la liberté de choisir leur identité, reproduit les anciens schèmes mentaux de la division raciale.
Le 17 décembre 1982, le député-maire de Fort-de-France, Aimé CESAIRE, tenait les vibrants propos ci-après au sujet de Victor SCHOELCHER à l'Assemblée nationale...
Cela peut sembler surprenant, mais les langues minoritaires pourraient bien trouver dans les nouvelles technologies de sérieuses raisons d'espérer. Exemple avec le formidable programme Common Voice, de la fondation Mozilla.
Récemment, j’ai publié la couleur de l’autre : l’altérité au travers des mots dans les sociétés coloniales françaises..., un article dans lequel je m’intéresse à l’usage de mots stigmatisants aux XVII et XVIIIes siècles : nègre, mulâtre, sang-mêlé… Des mots qui font toujours sens dans notre société. Il y a pourtant un vocable souvent employé aux Antilles de nos jours qui ne figure pas dans la liste étudiée : chabin, chabine*. Et pour cause, ce mot semble d’apparition beaucoup plus récente. Aujourd’hui, je vous parle des mots chabin, chabine qui, dans notre vocabulaire aux Antilles, fait référence à une personne claire de peau, mais dont les traits phénotypiques rappellent une personne noire.
Dans les langues sans statut, dominées et majoritairement orales, n'importe qui, n'importe quel locuteur s'estime compétent pour donner son avis sur tel ou tel aspect de celles-ci.
Beaucoup en sont sincèrement convaincus : l'anglais, le français ou l'espagnol seraient intrinsèquement supérieurs au mpongwè, à l'araona ou au corse. Or, c'est faux : les langues ne diffèrent aucunement par leur "complexité". La seule chose qui les distingue, c'est leur statut.
Dans cet ouvrage, l’auteur propose une analyse originale de la notion de domination linguistique. Partant du concept classique de diglossie, tel qu’il a été forgé par les linguistes Charles Fergusson et Joshua Fishman, il en suggère le dépassement en démontrant la prépondérance de la domination psychologique dans l’esprit du locuteur minoritaire, condamné à un fonctionnement diglossique qui n’est pas dans la langue, mais bien dans son esprit, enraciné profondément par le rapport de force politique qui cerne la langue. Procédant à un diagnostic affiné de l’état possible des langues dominées, sur la base notamment de leur représentation sociale, de leur place réelle et de leur niveau de reconnaissance juridique, il conclut à la nécessité pour sortir de la domination de mettre en œuvre un programme ajusté à la situation de la langue considérée.
Jusqu’au XXe siècle, on ne voyait dans ce parler des îles qu’un «baragouin» ou un «français corrompu». Aujourd’hui, le créole est enseigné dans les écoles et à l’université. Ce qui n’était qu’un «vulgaire patois» est devenu le symbole du métissage culturel caribéen. Grâce, notamment, au combat d’intellectuels comme Aimé Césaire ou Patrick Chamoiseau.
L’histoire des langues régionales en France face au français, idiome officiel de la République. Lorsque un Français arrive à Barcelone, il est souvent surpris d’entendre les Catalans déplorer que leur langue est en danger de mort. 95,1% des habitants de Catalogne comprennent leur langue locale et seulement 36,3% de la population l’utilise comme langue principale. Cependant, pour un Français, le Catalan apparaît comme une langue vivante présente sur l’affichage de la voie publique, utilisée par l’administration locale ou encore exclusive pour certains médias.
Considérée depuis au moins une décennie déjà comme langue indonésienne, le réseau de micro-blogging Twitter a finalement reconnu le swahili et offre une traduction de la populaire langue d’Afrique orientale et australe.