Sé moun-lan ki mandé lajistis fwansé kondané nou an davwè nou malélivé "présomption d'innocence" yo, moun ki Linivèsité fouté déwò ek ki touvé kò-yo radié di lafonksion piblik pou larestan lavi-yo, obtienn 33.000 éwo "dommages et intérêts" kon zot sav.
Sé jou-tala ayen ki pawol initil ka woulé anlè zafè vaksen kovid-19 toupatou kisiswa péyi-a. Ou sé di moun anni vini tèbè toubannman oben yo ka fè pa espré pa konpwann sé ki sa ki an vaksen.
Tout le monde se concentrera sur le chiffre de contaminés en cette semaine 28__3.537 cas__, chiffre en effet pharamineux, effrayant, et qui conduira inévitablement à un reconfinement.
Creolizing Europe critically interrogates creolization as the decolonial, rhizomatic thinking necessary for understanding the cultural and social transformations set in motion through trans/national dislocations. Exploring the usefulness, transferability, and limitations of creolization for thinking post/coloniality, raciality and othering not only as historical legacies but as immanent to and constitutive of European societies, this volume develops an interdisciplinary dialogue between the social sciences and the humanities.
Curieux, très curieux médias hexagonaux qui sont toujours très diserts sur l'origine ethnique des délinquants, mais rarement sur celles et ceux qui sont l'exact contraire.
Quand cette crise du covid sera terminée puisque toute pandémie a une fin (la grippe espagnole, par exemple, a fait 10 millions de morts à travers l'Europe au début du siècle dernier avant de s'estomper), on comptera les morts et les blessés, comme on dit vulgairement.
Comme 382 élus (es) de Droite et du Parti socialiste, le maire de St-Marie, Bruno-Nestor Azérot a cosigné une tribune, largement publiée dans la presse hexagonale, qui applaudit les mesures liées à la pandémie du covid-19 prises par le président français, Emmanuel Macron.
Ce qui s'est passé à Fort-de-France avant-hier soir et hier soir n'a pas de quoi surprendre. Le feu couve, en effet, depuis presque déjà deux ans dans une frange radicalisée de notre jeunesse, appuyée par des militants aguerris plus âgés et parfois débordée par des groupes non identifiés qui se livrent à des destructions de mobilier public ou des pillages de magasins.
Après le communiqué cauteleux du nouveau président de la CTM, S. Letchimy, élu, faut-il le rappeler, avec seulement 37% des suffrages (contre 74% et 55% pour ses homologues A. Chalus et G. Serville), voici que PEYI-A sort du bois à propos des deux nuits d'émeutes qui viennent de secouer Fort-de-France.
Depuis un peu plus de deux ans, des manifestations secouent régulièrement la ville de Fort-de-France, se tenant en plein jour face au Palais de Justice le plus souvent et, à la tombée de la nuit, à travers le centre-ville et la place de La Savane.
C'est ainsi que la presse de Belem (Brésil) qualifiait S. Letchimy lorsqu'il était président de l'ex-Conseil Régional (avant 2015 donc) et se rendait dans cette ville où la collectivité avait installé une antenne afin de "développer les relations économiques entre nos deux pays " (sic) : o presidente da Martinica. En portugais dans le texte, s'il vous plaît ! Enfin, en brésilien...
Depuis la création de l'AAMK (Association des Amis de Montray Kréyol) afin de tenter de sauver notre site-Internet qui croule sous les dommages et intérêts infligés par Dame Justice suite à différents procès intentés par des membres de l'ex-CEREGMIA (révoqués de l'Université et radiés de la fonction publique il y aura bientôt 4 ans mais "présumés innocents"), un fort élan de solidarité s'est manifesté tant en Martinique qu'à travers divers pays puisque le miracle de l'Internet fait qu'un journal en ligne peut être lu de Basse-Pointe à Ouagadougou ou de Berlin à Montréal.
Ce vendredi matin, à 10h, l'AAMK (Association des Amis de Montray Kréyol) a tenu une conférence de presse à l'hôtel "L'Impératrice", à Fort-de-France à laquelle ont assisté Martinique La 1è, Radio-Caraïbes International, France-Antilles et le journal de l'AOP (Alliance Ouvrière et Paysanne). Une trentaine de membres de l'association étaient également présents.
Pendant toute la campagne électorale des territoriales, le PPM et ses alliés n'avaient eu de cesse de nous répéter que "la Martinique est à l'arrêt", que "Tout va mal", que "la Martinique est tombée au dernier rang des territoires d'Outremer juste avant Mayotte" et blablabla...
Aucun pays au monde n'est un paradis ni n'a un système politique parfait. Cuba n'en est pas un mais pointer du droit le "manque de démocratie", voire "la dictature communiste" dont souffrirait ce pays, relève soit d'une forme de légèreté indécente soit d'un mépris envers un peuple en lutte depuis plus de 60 ans contre un blocus injustifié infligé à la plus grande île de notre archipel par les Etats-Unis. Cela relève aussi d'un manque d'information ou d'une soumission à la désinformation orchestrée par la plupart des grands médias occidentaux.
"Il" ? Serge Letchimy que l'on voit sur la photo illustrant cet article aux côtés du nouveau président de l'Assemblée de la CTM, Lucien Saliber, lors de la séance inaugurale de la nouvelle mandature.
Les jours passent et se ressemblent pour le maire de Fort-de-France et son parti, le PPM. Le mot "déficit" fait, en effet, partie du langage courant dès que l'on songe à eux même s'il devrait être accompagné de l'adjectif "abyssal", hélas inconnu de Ti Sonson.